Le transfert des deux Pierre…

Si Tchernia adorait les sardines… Bellemare les détestait, allez savoir pourquoi ces deux hommes de télévision faisaient une fixette sur les sardines…en boîte haha !


Au Maroc des hauts, en Algérie des bas pour les prix


Nous y voila…

Vous aimez les sardines en boîtes joliment illustrées ? Oubliez vos vieux réflexes ringards. Comme en Asie, l'avenir de la sardine est dans la transparence de son emballage : du bon vieux plastique jetable et bien polluant. La preuve ? Inkiele, entreprise espagnole bien placée sur le secteur ouvre une nouvelle unité de production au Maroc, pour s'occuper des sardines riffaines…
On ne recule devant rien pour s'offrir de bons vieux tapas à pas cher : maniée pour 1 euro de l'heure, étripée et filetée à la machine, cuite à la vapeur et recouverte d'huile industrielle, la sardine nouvelle saura séduire  les consommateurs du XXIème siècle, rassurés par la transparence de leur barquette en plastique ! Au secours !!!!


Course de boîtes à sardines ou prétendues telles !

Et pendant ce temps-là, certains s'y croient…


Encore quelques jours pour décider…

Dans la sardine, c’est qui le patron ?

 

Les consommateurs, répond PdM. À eux de voter pour un cahier des charges responsable pour la conserve.
La marque C’est qui le patron a acquis sa notoriété avec la brique de lait, dont le prix garantit une juste rémunération des producteurs, un pâturage suffisant des vaches… Un cahier des charges voté par les consommateurs. Ce concept se décline dans les conserves de sardines : lieu et technique de pêche, rémunération des pêcheurs, fraîcheur, calibre et parage des sardines, cuisson, recette. Aux consommateurs de dire leurs préférences jusqu’au 31 mai.
« Les questionnaires ont une vocation pédagogique », indique Laurent Pasquier, cofondateur de la marque. L’objectif est de faire prendre conscience de l’impact de telle ou telle promesse sur le prix de vente. La boîte de sardine se trouve de 1,85 à 2,70 euros pour celle de bolinche, certifiée MSC, pêchée au large de la Bretagne, payée au producteur de 750 euros la tonne. L’élaboration de la future conserve associe des OP comme Pêcheurs de Bretagne et des transformateurs.
Plus d'informations sur le site de PdM.

Pourquoi les sardines sont-elles chères pendant le Ramadan au Maroc?

Pourquoi les sardines sont-elles chères? Premiers éléments de réponse
Pixabay (Ph. Amadeo Sainz) 
La fédération nationale des pêches maritimes se réunit avec les différentes chambres régionales des pêches maritimes, ce mercredi 23 mai à Rabat, pour discuter de la vague de protestation concernant le prix de la sardine sur le marché national. Les professionnels discuteront également des pistes pour organiser la commercialisation du poisson.

Black blague


GO du Ramadan : « Ndogou sérère »
Un Sérère et un Toucouleur travaillent sur un chantier à Mbao (Dakar). A l’heure du déjeuner, le Sérère regarde le Toucouleur qui mange des sardines et met toutes les têtes dans un sac en plastique.
Le Sérère : « Pourquoi tu mets ces têtes de sardines dans ce sac en plastique? »
Le Toucouleur : « Je les garde pour mes mômes. Les têtes de sardines ça rend les mômes intelligents. »
Le Sérère : « Moi aussi je veux devenir intelligent ! Tu me donnes tes têtes de sardines »
Le Toucouleur : « Je ne peux pas te les donner, mais je peux te les vendre ».
Le Sérère : « D’accord je t’achète les têtes de sardines. Combien? »
Le Toucouleur « 50 euros ».
Le Sérère : « Ok »
Le Toucouleur vend les têtes de sardines au sérère qui se dépêche de les dévorer.
Au bout d’un moment, le Sérère dit au Toucouleur : « Dis donc, tu t’es foutu de moi ! Avec 50 euros j’aurais pu acheter plusieurs kilos de sardines avec les têtes ».
Et le toucouleur de lui dire : « Hé bien, tu vois que ça commence à marcher !»
Cébé

Au Maroc la sardine au coeur de la protestation

Boycott du poisson: une nouvelle campagne dénonce la hausse des prix au mois de Ramadan

BOYCOTT - “La miséricorde” sur laquelle comptait en ce mois de ramadan le chef du gouvernement, Saad-Eddine El Othmani, pour tourner la page du boycott, n’aura été qu’un vœu pieux. Au boycott de trois produits s’ajoute depuis quelques jours celui du poisson, via une nouvelle campagne relayée sur les réseaux sociaux par deux hashtags, #خليه_يخناز (“laisse-le pourrir”) et #خليه_يعوم (“laisse-le nager”). Sur la page Facebook “Maroc pour tous” , une affiche (image ci-dessous), publiée aujourd’hui, explique que ce nouveau boycott relève d’une logique: “Les sardines sont chères, je ne les achète pas... Très normal??!”
Comme pour les produits boycottés depuis un mois par les Marocains, c’est sur les réseaux sociaux que ce nouvel appel au boycott trouve son élan. Expressions de soutien, adhésion au boycott, les citoyens se montrent convaincus par la légitimité de dénoncer une hausse des prix bien exceptionnelle au mois de ramadan. 
la suite ici in Huffpostmaghreb

 

Carton rouge pour le poisson durant le mois de Ramadan

le 22 mai 2018

Le délicieux ‘‘Hout Bladi’’ est de plus en plus cher, voire souvent inaccessible. Encore plus en ce mois sacré de Ramadan, où les prix du poisson ont atteint des seuils intolérables. Ainsi, les sardines sont au prix de 30 Dhs. La sole et le merlan sont proposés à partir de 120 Dhs. Les crevettes sont à partir de 150 Dhs. Idem pour les autres produits de mer tels que le calamar, la dorade…
En ce début de semaine, à Casablanca, les vendeurs de poisson en détail ont observé un sit-in devant le marché de gros, pour exprimer leur colère et leur grande déception quant aux prix de vente du poisson. Des prix qu’ils qualifient de trop chers et de scandaleux. Ils pointent du doigt les intermédiaires et autres spéculateurs, à cause de qui le marché de poisson est biaisé, ne répondant à aucune logique commerciale.
Dans le même sens, le ministère de l’Agriculture et de la Pêche Maritime vient de recevoir un rapport accablant, détaillant, preuves à l’appui, comment les prix du poisson deviennent trop élevés, et qui en sont les véritables bénéficiaires. Selon ce rapport, signé par des professionnels syndicalistes, dont entre autres la Confédération Nationale de la Pêche Côtière, le prix des sardines ne dépasse guère 10 dhs dans les ports de pêche de Tanger, Safi, et El Jadida. Mais, ajoute-on, à cause des mafias et des semsaras des marchés, son prix est aujourd’hui de 30 dhs.
La toile, elle, laisse exprimer sa colère. Une chose est sûre : les prix du poisson en ce mois de Ramadan sont des plus élevés, dépassant de loin le pouvoir d’achat des ménages marocains. Un appel au boycott est lancé à partir de ce mardi 22 mai. Celui-ci se veut une réaction contre les spéculateurs et les mafias des marchés de poissons. Une réaction contre un marché livré à lui-même depuis de longues années déjà. Arrivera-t-on à le redresser ? Telle est la question. Du côté du gouvernement El Othmani, silence radio. Mais jusqu’à quand ?
Mais au-delà de la hausse des prix, il est important de souligner qu’aujourd’hui le pouvoir d’achat des Marocains, en particulier la classe moyenne, atteint ses limites. Et là, c’est la problématique de fond qui nécessite des réponses urgentes. Autrement, les boycotts risquent de n’épargner aucun secteur d’activités. El Othmani et son équipe sont invités à donner des réponses dans les plus brefs délais, et ne pas sous-estimer cette nouvelle forme de contestation populaire. Surtout pas. Dans tous les cas, le ton est donné.
Hassan Zaatit     

Documentaire sur la sardine en boîte


La sardine en boîte, une filière bien huilée (France 5) - La sardine fait son numéro
20/05/2018 - 15h37
 Un doc réalisé par Hervé Corbière qui s'est laissé éblouir par Connétable à Douarnenez. Résultat : il est passé à côté du sujet et n'a pas su révéler ce qui reste de profondément authentique avec la sardine en boîte. Les sardines de chez Lipp impressionneront toujours le consommateur moyen bien qu'elles sortent de l'usine de Dz et n'échappent pas au process industriel. 
Pas un mot sur Concarneau ni sur les Mouettes d'Arvor… ST-Gilles vu qu'au travers de Melle Perle… Et le Maroc présenté comme un repoussoir. Les Espagnols qui font des prouesses et les Portugais qui savent ce qu'est une sardine et savent aussi la célébrer sont aussi les grands oubliés. Et quitte à ce qu'elle fasse son numéro pourquoi ne pas parler des sardines thailandaises ou philippines qui envahissent les marchés asiatiques. Bref un sujet traité façon bobo, plein d'erreurs de novice en la matière. Les fidèles puxisardinophiles de ce blog sauront se distinguer des clupéidophiles amateurs !
 
La sardine en boîte, naguère produit de luxe, est aujourd'hui un produit accessible à tous, de plus en plus plébiscité. Zoom sur cet incontournable de la cuisine française avec ce documentaire diffusé dimanche 20 mai sur France 5A revoir (ou pas) sur demande ici
Chantal Rivier à Douarnenez, boutique Penn Sardine, boîte signée Margerin
© écrans du monde
30 € le kilo : C’est le coût moyen de la sardine bretonne ou vendéenne, soit des boîtes commercialisées entre 2,20 € et 3 €. Les boîtes de sardines millésimées peuvent dépasser les 5 €.
15 000 tonnes de sardines à l’huile sont consommées chaque année en France, en moyenne.
4 à 5 sardines entières par boîte : telle est la norme pour les produits vendus sous le fameux Label Rouge, gage de qualité. L’huile d’olive doit être certifiée « vierge extra ».
52 vertèbres pour la « vraie » sardine française. Elle en possède 53 au Portugal et 54 au large du Maroc.
7 composants excellents pour notre santé se trouvent dans les sardines à l’huile : des protéines, du phosphate, des lipides, du fer, des minéraux, du zinc et du sélénium. Les diététiciens recommandent leur consommation pour prévenir les maladies cardiovasculaires.
350 mètres : c’est la longueur des filets utilisés par les bateaux des sardiniers en Bretagne. Disposés en cercles, la nuit, ils piègent des milliers de sardines qui sont acheminées à bord et saisies dans la glace, avant de rejoindre les conserveries. À partir de 2 tonnes par filet, la pêche est considérée comme bonne.
4 minutes de cuisson dans l’huile de tournesol, puis les sardines sont conditionnées en boîtes, elles-mêmes stérilisées pendant 1 heure à 100 °C.
La sardine en boîte, une filière bien huilé, est à suivre dimanche 20 mai à 20.50 sur France 5.
 J.-B. Drouet

Spéculation sur la sardine au Maroc

Le Ramadan a bon dos !

in Kiosque360. 

Poisson: un «rapport noir» sur la flambée des prix.

Les intermédiaires seraient les seuls responsables de la flambée des prix de ce mois de Ramadan. C’est ce qui ressort d’un rapport des professionnels de la pêche remis récemment à Aziz Akhannouch.


Aziz Akhannouch, ministre de l’Agriculture et de la Pêche maritime, aurait reçu récemment un rapport sur la spéculation pendant le mois de ramadan. C’est ce qu’affirme Al Massae, dans son édition de ce lundi 21 mai, citant le contenu d’un rapport qu’il qualifie de «noir».

Selon la publication, ce rapport a été élaboré par des professionnels de la mer appartenant à plusieurs corps de métiers et à plusieurs organisations syndicales en même temps. Ces professionnels, dont ceux affiliés à la Confédération nationale de la pêche côtière, pointent du doigt les «mafias» des intermédiaires et des spéculateurs qui ont réussi à faire atteindre au prix du poisson des records pendant ce mois sacré.

Al Massae donne l’exemple des sardines dont le prix a atteint 30 dirhams le kilo. «Le prix de la sardine sur les marchés de gros ne dépasse pas 10 dirhams le kilogramme. Nous n’y sommes pour rien», soulignent les auteurs du rapport cité par Al Massae. Selon le même rapport, les intermédiaires et les spéculateurs ont réussi leur pari cette année malgré les mesures prises par les autorités publiques.

Al Massae avance que cette hausse concerne d’autres espèces de poisson, sans donner la moindre indication, sachant que le prix d’autres poissons très prisés pendant ce mois ont aussi enregistré une hausse vertigineuse. Selon la publication, la différence entre l’offre et la demande ne saurait expliquer cette hausse des prix. Exemple, à en croire Al Massae, les sardiniers opérant au port de Casablanca ont capturé 300 tonnes de sardines les deux premiers jours du mois de ramadan, mais n’en ont écoulé que 250 tonnes. Autrement dit, on recense un surplus de 50 tonnes, soit la différence entre l’offre et la demande. Pourquoi alors un kilogramme de sardines à 30 dirhams ? 

Par Moncef El Fassi

Les sardines en Bourgogne !

 Journées gourmandes à Saulieu : 50 kilos de sardines seront engloutis


"Cette année, la Vendée côté océan est l’invitée d’honneur des 29es  Journées gourmandes de Saulieu" rapporte Le Bien Public. L’occasion de goûter l’emblématique sardine de Saint-Gilles-Croix-de-Vie. Mais pas seulement. En quatre jours, les invités ont prévu d’écouler à Saulieu « 50 kilos de sardines, sans compter les boîtes de conserve ». De quoi contenter « près de 400 personnes »...

Une artiste gillocrucienne s'expose sur une boîte à sardines

La peinture représente l’entrée du port de Saint-Gilles-Croix-de-Vie. 20 000 boîtes ont été produites par la Conserverie Gendreau. On peut l’acheter sur le stand de la Confrérie à la foire-expo de Saint-Gilles qui se tient jusqu'à dimanche.
« Cette peinture fait partie d’un triptyque », indique son auteur, Suzy Ocadlik. Un autre tableau de cet ensemble sera utilisé pour la boîte collector 2018. La peintre a passé toute sa vie à Saint-Gilles-Croix-de-Vie et est fière de pouvoir présenter l'une de ses oeuvres sur une boîte que touristes et locaux ont l'habitude de garder en souvenir.
Ouest-France 12-05-2018

Les vautours de Sidi Bibi !

Agadir-Tiznit: un camion de sardines se renverse…et fait des heureux

in Le Site info - 11 mai 2018

©LeSiteinfo
Décidément, le sens de la citoyenneté et de l’entraide échappe à de nombreuses personnes! La cargaison d’un camion-remorque, en provenance des provinces sud du Royaume et ayant pour destination la ville de Aït Melloul, a été vandalisée.
Jeudi dernier, le camion qui était chargé de cagots de sardines roulait sur la RN Agadir-Tiznit, exactement au niveau du siège de la commune Sidi Bibi, province Chtouka-Aït Baha. Et un témoin oculaire a déclaré à Le Site info, que la partie droite de la remorque a cédé à un virage. Ce qui a eu pour résultat qu’une grande partie de la cargaison a fini sur le bord de la route.
Des dizaines de personnes qui se trouvaient aux alentours ont accouru vers les lieux. Pour prêter assistance au chauffeur et l’aider à recharger! Que nenni! Pas du tout, hélas! Tels des rapaces, l’occasion faisant le larron, ces gens se sont emparés du butin et c’était à qui volerait la plus grande quantité de sardines.
Le vandalisme éhonté a pris fin à l’arrivée des gendarmes qui ont mené leur enquête sur l’accident et rétabli la circulation longtemps perturbée dans la zone.
Ben Brahim

TAZMALT (Algérie) - Vente de la sardine au marché hebdomadaire

 Les conditions d'hygiène foulées aux pieds

Jeudi dernier, il y avait du monde devant les étals de poisson au marché hebdomadaire de Tazmalt. La cause était évidente: la sardine était affichée à 300 DA/kg. Une chute vertigineuse du prix de ce poisson qui caracolait entre 500 et 600 DA/kg il y a quelques jours seulement. Les ménages s'agglutinaient, donc, devant les caisses remplies à ras de sardines, car il est connu du commun des citoyens que les prix de celle-ci fluctuent à ne pas en finir. Mais au-delà de ce constat, il est à regretter les conditions peu enviables dans lesquelles sont commercialisés la sardine et le thon. Certes, les caisses pleines de ces poissons sont transportées dans des camions-frigos, mais au déchargement, ces produits de la mer sont vendus à l'air libre. Jeudi dernier, il faisait un peu chaud à Tazmalt, quelque chose comme 25 ou 26 degrés. Cette température n'est bien évidemment pas idéale pour la conservation et la commercialisation de la sardine et de toute autre viande, qu'elle soit rouge ou blanche. Et c'est dans toute cette ambiance quelque peu délétère que la sardine était vendue dans ce marché, loin de tout contrôle. Et comme pour «rafraîchir» cette denrée périssable, les poissonniers l’aspergeaient d'eau, sans savoir que cela lui rajoute une couche dans une putréfaction indescriptible. Le pire dans tout cela, il y a des poissonniers qui proposent à la vente une sardine complètement écrabouillée et "broyée" aux clients qui, comme aveuglés, achètent le plus normalement du monde, sans broncher. «Et pourtant, ce n’est pas encore le Ramadhan !», ironise un riverain. Vers 11 heures, la sardine s'écoulait sans anicroches alors qu'il faisait chaud. Mais le «spectacle» qui laissait interdit, c'est la vente du thon après une opération de dépècement dans des conditions «épouvantables». Munis de scie à métaux et de couteaux effilés et longs, des poissonniers découpaient des morceaux de thon à même les caisses, dégoulinant de sang et de "sciures". Les morceaux à la limite de l'avarie sont ainsi remis aux clients qui, tout satisfaits, ne semblaient pas se poser trop de questions, sachant que ce n'est pas chaque jour que les ménages s'offrent du thon, car, cette fois-ci, il était moins cher que d'habitude, avec un tarif de 300 DA/kg.
Syphax Y.

Les sardines de Tipasa, Algérie

Lancement de la campagne 2018 à Tipasa

La campagne de pêche à la sardine pour l'année 2018 a été lancée officiellement samedi à partir du port de pêche de Tipasa avec l'objectif d'atteindre plus de 5000 tonnes de prises, selon les prévisions de la Direction de la pêche et de l'aquaculture de la wilaya. 
La wilaya compte une flottille de 190 embarcations spécialisées dans la pêche à la sardine au niveau de ses cinq ports de pêche (Khemisti, Bouharoune, Tipasa, Cherchell et Gouraya), a-t-il ajouté, soulignant l'importance de la valorisation des outils de production et des infrastructures de base du secteur dans la réussite des campagnes de pêche. Interrogé sur la hausse du prix de la sardine, qui a atteint le plafond de 800 DA le kilogramme au niveau des poissonneries et marchés de la région, le responsable l'a imputée à la "règle de l'offre et de la demande", informant, en outre, que le "pic" de production de ce type de poisson (sardine) se fait généralement durant la "période allant de mai à octobre".  (in La Nouvelle République)
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