Au Maroc, ça va bien !

Pêche: hausse de plus de 11% des captures de sardines

Par Younès Tantaoui le 23/12/2016 à 09h30
Sardines
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Le secteur de la pêche maritime profite au terme des dix premiers mois de 2016 de la bonne tenue des captures de la sardine, du maquereau, des algues et du calamar. La valeur des captures a ainsi augmenté de 7% à fin octobre dernier.
L’année 2016 a été plutôt bonne pour le secteur de la pêche. La dernière note de conjoncture de la direction des études et des prévisions financières, relevant du ministère de l’Economie et des Finances, fait en effet ressortir une augmentation de 11,3% du volume des débarquements de la pêche côtière et artisanale au terme des dix premiers mois de 2016.

La même source précise que cette augmentation s’explique par la bonne tenue des captures de la sardine (+11,4%), du maquereau (+33%), des algues (+50,1%), du chinchard (+12,7%) et du calamar (+155,8%).

En valeur, ces débarquements ont augmenté de 7% à fin octobre 2016, impulsés par l’accroissement de la valeur des captures de la sardine de 9,5%, en dépit d’une baisse du prix moyen à la vente de 1,7%. Cette progression s’explique, également, par le bon comportement des captures des céphalopodes (+10,6%, s’expliquant à hauteur de 60% par la hausse de la valeur des captures du calamar de 166,1%), du maquereau (+34,8%), des crustacés (+16,5%) et des algues (+57,2%).

Let the dindes alone…

Retour de la sardine pour Noël à Douarnenez  

William LECOQ in Ouest-France
 
Depuis quelques jours, les bolinches prennent des sardines de gros calibre par centaines de tonnes au large de Douarnenez. Une situation inhabituelle à cette période de l'année.
Depuis quelques jours, la silhouette des bolincheurs, filets à l'eau, accompagnés de leur nuée de goélands, est venue s'ajouter à la vue panoramique depuis les ports douarnenistes.
Pas besoin d'aller bien loin, l'animal recherché est trouvable à quelques encablures à peine des rivages de la cité penn-sardin. Le poisson coupable, bien connu dans la région, porte un nom : la sardine.
En ce milieu de mois de décembre, le poisson emblématique de la baie est pêché en grande quantité. Depuis trois semaines, la criée de Douarnenez en reçoit ainsi entre 100 et 250 tonnes par jour, selon son directeur José Salaün.
« Normalement, à cette époque, il y en a moins », confie-t-il.
Pêche de beau temps
Déjà bien orientée depuis début 2016, avec 71,82 % de hausse du tonnage débarqué en criée sur les neuf premiers mois, la halle à marée penn-sardin est cette fois sûre de terminer l'année en fanfare. Une bonne nouvelle, lorsque l'on sait que l'année 2015 a été, au contraire, plutôt maussade.
Double bonus : la sardine en question est d'un gros calibre, particulièrement intéressant pour les conserveries. « En ce moment, il y a de 10 à 15 sardines par kg, explique Pierrick Joncour, armateur du Basse-Gouache, l'un des bolincheurs actuellement à pied d'oeuvre dans la baie. À cette taille-là, c'est beaucoup plus facile pour les machines. »
Mais alors qu'est-ce qui amène autant de poisson dans les eaux de la baie, à une période où il brille habituellement par sa rareté ? « C'est dû au fait qu'il y ait eu du beau temps, poursuit Pierrick Joncour. En septembre, il n'y a eu aucune tempête. Les vents étaient toujours orientés nord-est ou sud-ouest. Et la sardine, c'est une pêche de beau temps. »
Ce retour peut sembler d'autant plus surprenant que, l'été dernier, les pêcheurs comme les bolincheurs faisaient plutôt la grimace. Fin septembre, l'entreprise Chancerelle, leader français des conserves de sardines à l'ancienne, annonçait qu'elle allait devoir réduire sérieusement la voilure face à la pénurie (non-reconduction d'intérimaires et chômage technique).
« Il n'y avait pas de sardines assez grosses », analyse simplement Pierrick Joncour.

Les sardines du père Noël

Qui êtes-vous, Père Noël ?
«Mes parents sont issus de l'immigration italienne de l'après-guerre. Ils n'arrêtaient pas de travailler, et malgré tout, ils étaient pauvres. Je me souviens à peine de ma grand-mère qui était employée de maison, elle a travaillé jusqu'à son décès, à 85 ans.»
Quel est votre plus beau cadeau de Noël ?
«Quand j'ai eu 5 ans, mon père m'a offert un cadeau qui a marqué à tout jamais ma mémoire. C'était un petit train, un train magique que mon père avait construit avec 3 boîtes de sardines et une de maquereaux. Une ficelle reliait les wagons entre eux et la locomotive contenait une orange. J'étais le plus heureux des enfants. Je m'amusais des jours et des jours avec ce train qui m'emmenait dans des pays merveilleux. Et l'orange m'apportait ce soleil qui me manquait parfois». «Quand j'ai eu 60 ans, mes amis, mes collègues de travail m'ont offert un cadeau. Dans un paquet se trouvait un petit train magique, réalisé avec 3 boîtes de sardines et une de maquereaux… J'en ai pleuré d'émotion».
Depuis plus de 20 ans, il est le Père Noël. Avec sa barbe et ses cheveux blancs, son habit rouge, ses yeux pétillants, il apporte aux enfants de l'espoir, du bonheur et des rêves plein la tête. Souvent, il va dans les écoles comme à Colayrac-Saint-Cirq ou Castelculier. Les enfants peuvent aussi venir le voir dans la maison du Père Noël où il les accueille avec joie et bonhomie avec les lutins et Mère Noëlle. Le Père Noël habite vraiment en Lot-et-Garonne !

En savoir plus sur http://www.ladepeche.fr/article/2016/12/22/2483775-j-ai-pleure-d-emotion-devant-trois-boites-de-sardines.html#1GzqsuZO88ZrUmRs.99

Un nouveau débouché pour les sardines

L'iconique « fish and chips » britannique menacé par le changement climatique

L'iconique « fish and chips » britannique menacé par le changement climatique
(Photo d'illustration d'archives)
Pendant des générations, les Britanniques ont compté sur les mers entourant le Royaume-Uni pour fournir l'ingrédient clé d'un plat qui est une véritable institution nationale : le Fish and Chips, du poisson et des frites. Mais comme c'est le cas avec tant d'autres choses, le changement climatique pourrait bien les contraindre à changer cette vieille habitude. Les goûteux, succulents -mais désormais menacés- poissons comme la morue, la plie et l'églefin pourraient ainsi devoir faire place à quelque chose de plus durable. Quelque chose d'un peu plus méditerranéen aussi, même : le calamar.
Selon des scientifiques marins, la hausse des températures dans la mer du Nord entraîne un changement permanent des stocks de poissons en Grande-Bretagne. Les espèces d'eau froide, comme la morue, se déplacent de plus en plus vers le Nord vers les eaux plus froides autour de la Scandinavie. Dans le même temps, des créatures marines généralement associées aux eaux environnant l'Espagne et le Portugal se rencontrent plus souvent autour de la Grande-Bretagne. Des sardines, des anchois et surtout du calamar y sont ainsi trouvés en nombre croissant. Le calmar des eaux chaudes est devenu trois fois plus abondant dans la région depuis les années 1980. Les populations de mulets, de maquereaux et de sardines ont également augmenté.
Les Britanniques mangent 382 millions de portions de Fish and Chips chaque année. « Les consommateurs britanniques aiment manger une gamme limitée de fruits de mer, mais à long terme, nous devrons adapter nos régimes », a déclaré John Pinnegar, du Centre pour l'environnement, la pêche et les sciences de l'aquaculture (Cefas) de Grande-Bretagne. « En 2025 et au-delà », ajoute-t-il, « il faudra peut-être remplacer la morue et d'autres vieux poissons favoris par des espèces d'eau chaude comme le calamar, le maquereau, la sardine et le rouget ».
Le Centre pour l'environnement, la pêche et les sciences de l'aquaculture, qui surveille les stocks halieutiques depuis plus d'un siècle, a récemment trouvé du calmar dans 60% de ses points d'observation de la mer du Nord, contre 20% dans les années 80. Selon le Dr John Pinnegar de Cefas, le moment est venu pour les habitudes alimentaires britanniques de refléter ce nouvel environnement, et d'alléger la pression sur les stocks déjà épuisés de poissons traditionnels. « Peut-être que les consommateurs pourraient choisir des espèces qui se trouvent dans nos propres eaux », a-t-il expliqué à BBC News. « Et il y a beaucoup d'espèces qui semblent augmenter -des choses comme le rouget, les anchois, les sardines, le calamar ». La température moyenne annuelle de la surface de la mer du Nord a sensiblement augmenté au cours des 30 dernières années, et cette tendance devrait se poursuivre.
(Rédacteurs :Guangqi CUI, Wei SHAN

Dealers de sardines à Vingtimille

« Je ne peux pas être bien chez moi quand quelqu’un a faim à côté »

Monument en l’honneur de Gisèle et Jean-Pierre Cottalorda
samedi 17 décembre 2016
popularité : 67%

Par Le Partageux in Altermonde-sans-frontières.com
Les valeureux de notre temps. Ceux que nos petits-enfants honoreront en gravant leurs noms sur les monuments du futur. « Mézenfin ! Aidez nos SDF plutôt que des migrants étrangers ! » Cet argument, nous l’entendons tous beaucoup trop souvent. « Les gens qui disent ça, ils ne s’occupent jamais des SDF. Jamais. Nous, on est sensibles à la misère humaine. On est sensibles à la misère humaine à Nice et à Menton, où ce sont des SDF. Et là maintenant c’est à notre porte (les réfugiés dans la vallée de la Roya et à Vintimille.) C’est notre seul moteur, le reste, ça n’a pas d’importance. Mais cet argument-là… Nous, entre parenthèses, on s’occupe des deux. »
Depuis des années, avec l’association Soupe de nuit, Gisèle et Jean-Pierre Cottalorda distribuent chaque semaine des repas aux sans-abri du département des Alpes-maritimes. Alors aider les réfugiés, quand ils ont commencé à arriver, ça coulait de source pour ce couple de retraités âgés de soixante-dix ans. Mais la mission se révèle beaucoup plus difficile. Impossible de distribuer des repas chauds. « On a une impression d’inachevé. On ne peut pas faire plus que ça. On ne peut pas faire plus de 150 sandwiches. »
Gisèle et Jean-Pierre mettent un sandwich, une boîte de sardines, un œuf dur et une pomme dans chaque sachet. « Nous, on deale des sardines. On est des dealers de sardines ! » Chaque mardi en soirée ils font la tournée de distribution. D’autres volontaires se relaient les autres soirs de la semaine pour distribuer un minimum de nourriture à des réfugiés affamés et pétrifiés de froid. « On est obligés de faire des petits sachets comme on peut, de distribuer à la sauvette pour ne pas être inquiétés par la police. Parce que, dans la mesure où le maire de Vintimille a pris un arrêté disant qu’il était hors de question que nous donnions à manger aux migrants, on est obligés tout simplement de se cacher. D’où ces petits sachets qui nous prennent beaucoup de temps. »
Dans un reportage télévisé on voit une petite fille qui veut aider ses grands-parents. Mais, à cinq ans, tu sais, on n’est pas d’une productivité à faire pâmer de jouissance les Fillon-Macron et leurs bailleurs de fonds. Plutôt même un frein. Pas grave, ce qui compte, c’est qu’une petite mignonne apprend qu’on ne vit pas sur une île déserte. « Moi je ne peux pas être bien chez moi quand quelqu’un a faim à côté. C’est pas possible. Je sais très bien que je prends le risque d’être en infraction. » Et ça ne manque pas de piquant de voir nos deux retraités se cacher de la police pour distribuer des sachets de nourriture. Pour éviter la garde à vue.
Jean-Pierre, la garde à vue, il connaît rudement bien. Il a mis des suspects d’infraction en garde à vue pendant plus de trente ans. Avant d’être retraité, il était patron dans la police. « On n’a pas le droit, mais humainement, on ne peut pas ne rien faire. »

Des cormorans au père noël en Corée du sud …


SHOW live ici - 
Dans un aquarium de Séoul, en Corée du Sud, un plongeur habillé en père Noël offre un spectacle original en nageant au milieu de milliers de sardines. Accompagné d'autres plongeurs, il présente un show mêlant danse et animations avec les poissons.
Un père Noël sous-marin, voilà le personnage qu'ont pu découvrir les visiteurs de l'aquarium COEX de Séoul ce samedi 17 décembre. Un plongeur revêtu du traditionel costume rouge et blanc a donné un spectacle original en nageant au milieu d'environ 20.000 sardines. Il était accompagné de quatre autres plongeurs, eux aussi déguisés, qui ont offert un show mêlant danse et animation avec les poissons. 
Le spectacle aura lieu trois fois par jour le week-end, jusqu'au 25 décembre prochain. L'aquarium de Séoul à l'habitude d'offrir ce genre de spectacle à l'occasion des fêtes de Noël... pour le plus grand plaisir des enfants.

Grand prix de ©National Geographic pour les sardines



Cette photo de G. Lecoeur a été prise lors de la migration des sardines, le long de la côte sauvage de l’Afrique du Sud. C’est lors de cette migration que les poissons deviennent les proies favorites des dauphins et des cormorans. Les mammifères marins ont développé une technique de chasse en groupe unique. Les oiseaux, eux, repèrent de très loin les mouvements sous la surface de l’eau et suivent les dauphins. Une fois qu’ils ont repéré un groupe de dauphins, ils savent que les poissons seront rabattus tous au même endroit et ils plongent, parfois de plus de 40 mètres de haut, crevant la surface la tête la première et fondant sur les sardines à près de 80 km/h.

Les tartines de Julien Duboué, c'est la classe

Les rillettes de sardines à bobos ! On peut aussi remplacer le tarama par des oeufs d'esturgeon du Sud-ouest… ici


Rillettes de sardines par Julien Duboué, recette extraite de son livre Sud-Ouest

Onctuosité envoûtante et fraîcheur iodée pour ces sardines en boîte mixées avec du tarama, de la moutarde à l’ancienne, du citron confit et une mayonnaise maison relevée au piment d’Espelette. Idéal pour tartiner au moment de l’apéritif.


Rillettes de sardines par Julien Duboué, recette extraite de son livre Sud-Ouest ©Guillaume Czerw

Préparation : 10 min

Ingrédients Pour 4 personnes :
200 g de sardines en conserve à l’huile d’olive (environ 2 boîtes)
80 g de tarama nature de la maison Barthouil
65 g de moutarde à l’ancienne
2 c. à c. rases de piment d’Espelette en poudre
2 c. à s. de citrons confits hachés
80 g de vinaigre de Xérès
80 g de mayonnaise maison
Mayonnaise
1 jaune d’œuf
1 c. à c. de moutarde
1 pincée de sel
1 pincée de poivre
20 cl d’huile d’arachide
Mélangez fortement le jaune d’oeuf, la moutarde, le sel et le poivre pendant 1 min. Ajoutez l’huile en fouettant jusqu’à ce que la mayonnaise monte.
50 g d’ail blanchi
Ail blanchi
200 g de gousses d’ail
50cl de lait
Épluchez les gousses d’ail, retirez les germes, puis hachez-les finement au couteau. Dans une petite casserole, portez à ébullition le lait avec l’ail haché. Filtrez le tout dans une passoire fine, égouttez, puis pressez l’ail ainsi blanchi.
Égouttez les sardines tout en conservant l’huile pour la suite de la recette. Dans un robot, mixez les sardines, puis ajoutez le reste des ingrédients avant de mixer à nouveau. Ajoutez ensuite l’huile des sardines, puis mixez une dernière fois, jusqu’à l’obtention d’une texture lisse et homogène. Mettez au frais et servez bien froid.
À tartiner sur des croûtons de pain grillés.

Pour la p'tite histoire... par Julien Duboué
« Presque tous les bars à tapas que je connais proposent à leur carte la fameuse boîte de sardines, avec ses sardines entières à l’intérieure, agrémentées de pain et de beurre. Ici, j’ai voulu retravailler l’esprit de cette tapas incontournable, mais en le présentant différemment, sous forme de rillettes à tartiner sur des croûtons de pain grillé, et en y apportant un maximum d’onctuosité, avec de jolies notes fumées en prime, grâce au fabuleux tarama de la maison Barthouil .»
Sud-Ouest - Alain Ducasse Edition - Un concentré de convivialité en 80 recettes  - Auteurs : Julien Duboué, Philippe Boé. Photographies Guillaume Czerw.
En vente en librairie au prix de 29€.

Sabrina aime les sardinas

Les tartines aux sardines, une recette pour enfants !
http://pluzz.francetv.fr/videos/les_defis_d_alfridge_,150182972.html

Rien ne va plus

C'est confirmé : rien ne va plus mais on va faire comme si !

Consommation : les cours du poisson explosent

Thons, maquereaux, sardines. Les cours du poisson sont en hausse alors que neuf ménages français sur dix en achètent régulièrement en conserve.


Accompagné d'huile, de tomates, nature ou bien grillé, c'est un produit bon marché que les Français adorent : la conserve de poisson. Neuf ménages français sur dix en possèdent au moins une dans leur placard. Mais les cours du poisson explosent : + 30% pour le thon, + 35% pour le maquereau et + 49% pour les sardines. Alors la conserve de poisson française va-t-elle devenir un produit de luxe ?

Un problème de taille

Pour les pêcheurs qui fendent l'obscurité au port de Douarnenez (Finistère), ce n'est pas un problème de quantité, mais de taille. 2016 restera une mauvaise année pour la sardine. Patricia Bréhonnet, par exemple, commande six tonnes de sardines pour une conserverie bretonne. Avant d'acheter, il faut peser et mesurer. Les poissons jugés trop petits seront recalés, car ils doivent être suffisamment charnus. Et cette année, la sardine est trop chétive.
Un reportage Francetvinfo ici

La sardine et le champagne


La Ponsardine, le nouveau coffret de Veuve Clicquot


La Maison Veuve Clicquot propose un nouveau coffret en édition limitée, la Ponsardine, qui prend la forme d'une boite … Une boîte à sardine faisant référence à l’histoire de la Maison … 

En effet, en 1813, Nicolas Ponsardin fut élevé au rang de Baron par Napoléon 1er. Ce statut lui confèra le droit de posséder ses propres armoiries. À l’époque, et avec le sens de l’auto-dérision, celui-ci décide de choisir un pont surmonté d’une sardine : pon(t)sardin(e). 
Par la suite, sa fille, Barbe Nicole Ponsardin, deviendra la célèbre « Veuve Clicquot ». C’est pourquoi la marque a décidé en 2012 de lancer ce coffret original pour célèbrer ce passé important pour la marque. (introuvable aujourd'hui)

 

La conserverie Courtin se développe à Tregunc


Trégunc La conserverie Courtin a de l'appétit

Fondée en 1893, la conserverie Courtin va quitter son site historique pour une usine toute neuve à Trégunc. Le bâtiment a été dimensionné pour produire deux fois plus de produits.



Par Adèle Le Berre
Un paquebot noir surmonté de cheminées jaunes et noires. Située sur la commune de Trégunc, la future usine Courtin a de l’allure. « C’est mon père qui a souhaité cette forme de navire en référence à notre activité et notre lien avec la mer. Le bâtiment donne un cap », décrit Jean Collin, directeur de la conserverie, en parcourant l’usine en plein travaux. Elle devrait être livrée fin janvier. La production devrait démarrer fin février.

Embellie de la conserve

« Pour faire vite, on peut dire qu’on passe du Moyen-Âge au XXIe siècle », résume Jean Collin. La conserverie Courtin n’avait en effet pas changé de locaux depuis sa création, en 1893 à Concarneau (quai du Moros). Le bâtiment était devenu trop étroit, inadapté au volume croissant de production. « Depuis quelques années, on connaît une croissance à deux chiffres, indique le patron sans révéler le chiffre d’affaires. Cela s’explique par notre politique commerciale et une embellie du marché de la conserve. »
En 2015, l’entreprise a produit 220 tonnes de rillettes, de soupes, sauces, boites de sardines, de thon et de maquereaux, plats préparés (notamment le fameux confit de saint-jacques)… La nouvelle usine a été dimensionnée pour en produire deux fois plus. « Cela ne se fera pas du jour au lendemain mais progressivement. » Les lignes de production ont été totalement repensées avec l’aide de la Carsat (Caisse d’assurance retraite et de la santé au travail).

3,5 millions d’euros

Jusqu’à présent, les sept salariés en production préparaient les soupes dans des marmites de 100 litres, broyaient manuellement et transvasaient à la louche. À l’avenir, ils utiliseront une marmite de 1 500 litres qui broiera, filtrera de manière automatique. « Avant, les salariés devaient mettre les conserves dans un autoclave vertical en utilisant un palan. Demain, ils les mettront dans un autoclave horizontal. Ce sera plus sécurisant, moins physique », décrit Jean Collin qui a investi 600 000 euros dans un nouveau parc de machines.
L’investissement total atteint 3,5 millions d’euros. « À l’origine, on pensait faire cette usine dès 2008. Mais la crise nous a obligés à repousser ce projet. Aujourd’hui, l’horizon est dégagé », se réjouit le patron de cette PME de 14 salariés qui possède en propre six magasins. La nouvelle usine et son musée devrait aussi drainer davantage de visiteurs. « Nous accueillions déjà 150 cars par an. Cela devrait monter en puissance. »
29910 Trégunc
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29181 Concarneau

Sardines du Ghana

Enfin une conserverie de sardines promise à Accra, Ghana
National Democratic Congress (NDC) parliamentary candidate for Ablekuma South constituency in the Greater Accra region is promising to build a sardine factory at Chorkor, a suburb in the community. - See more at: http://ghana-news.adomonline.com/politics/2016/November-28th/oko-vanderpuye-promises-sardine-factory-at-chorkor.php#sthash.fAibEtkF.FatvSVu7.dpuf

National Democratic Congress (NDC) parliamentary candidate for Ablekuma South constituency in the Greater Accra region is promising to build a sardine factory at Chorkor, a suburb in the community. - See more at: http://ghana-news.adomonline.com/politics/2016/November-28th/oko-vanderpuye-promises-sardine-factory-at-chorkor.php#sthash.fAibEtkF.FatvSVu7.dpuf
National Democratic Congress (NDC) parliamentary candidate for Ablekuma South constituency in the Greater Accra region is promising to build a sardine factory at Chorkor, a suburb in the community. - See more at: http://ghana-news.adomonline.com/politics/2016/November-28th/oko-vanderpuye-promises-sardine-factory-at-chorkor.php#sthash.fAibEtkF.FatvSVu7.dpuf

cadeau super romantique !

A découvrir sur Amazon.uk le cadeau le plus romantique de l'année : la boîte de sardine "special lovers", avec bougie, huile de massage et petit jeu à gratter… attention les condoms ne sont pas inclus ! A commander d'urgence ici pour 28£

Tester les sardines en boîtes à Paris

Un nouveau site à découvrir par les amateurs de sardines à Paris et une dégustation à ne pas rater… 


Sardines - Sélection 2016-2017

les meilleures sardines en boite à l'huile d'olive

En France, dix grandes conserveries de poissons produisent de la sardine en boite.
Les 7 conserveries La Belle-iloise, Gonidec, Furic, Chancerelle, Gendreau, Capitaine Cook et La Quiberonnaise perpétuent un savoir-faire et des recettes à l'ancienne, et développent un haut de gamme avec des séries millésimées (les 3 conserveries Saupiquet, Petit Navire/Parmentier et Ferrigno ne sont pas positionnées dans le haut de gamme).
Nous avons sélectionné une seule référence de sardines à l'huile d'olive à l'ancienne pour chacune des 7 conserveries en excluant les recettes "gourmandes" et les déclinaisons de marques pour une même conserverie.
Ces 7 boites haut de gamme seront dégustées par le Club des Sardinophiles après la saison de pêche 2016 pour évaluer les sardines en vente en 2017. Le rapport de dégustation sera publié sur ce site en décembre / janvier. Voici le tableau des sardines à déguster: c'est ici !

Vilaine sardines

in Ouest France par Hugo HUAUMÉ


À Rennes, les nouvelles illuminations seront mises en lumière ce jeudi, à 19 h. Parmi elles, un banc de sardines se baladera le long du canal de la Vilaine, au pied du musée des Beaux-Arts. Elles brilleront jusqu'au 2 janvier inclus.
Nathalie Appéré, la maire de Rennes, donne le coup d'envoi des illuminations, cer jeudi 1er décembre, à 19 h, place de l'Hôtel-de-Ville,. Tous les habitants sont conviés à se joindre aux festivités.
Pour les fêtes de fin d'année 2016, un renouvellement de l'installation des illuminations a été effectué de façon à mieux valoriser le patrimoine architectural, les axes commerçants, les places accueillant les marchés de Noël et les quartiers.
Il y a un mois, la ville a présenté le nouveau parcours lumineux conçu par l'entreprise Congo Bleu, et l'artiste Mourka Glogowski. Parmi ces nouveaux éclairages de Noël, une partie a été confiée aux services d'éclairage public de Rennes. Une première.

« Vilaine sardine »

Cette création, nommée « Vilaine sardine » habille désormais le canal entre le pont Pasteur et la rue Jean Jaurès. « Un espace sombre » selon Bertrand Bigot, en charge de l'événementiel à la municipalité « qui méritait d'être mis en lumière. »
Une douzaine d'employés municipaux, habituellement chargés de la maintenance de l'éclairage, ont ainsi découvert les coulisses de la création des illuminations de noël.
Ils ont pour cela recyclé d'anciens motifs qui trônaient auparavant le long des quais de Vilaine, accrochés à des lampadaires. « Nous avions des triangles, et l'eau de la Vilaine pour point de départ, raconte Bertrand Bigot. Nous avons ensuite imaginé des sardines qui remonteraient la rivière. » Il a fallu retravailler les structures, remplacer et refiler les guirlandes et fabriquer des câblages.

Formation et création

Un travail de spécialistes que les employés municipaux ont appris au cours de mini-stages au Mans, dans l'entreprise Leblanc, qui a confectionné les autres illuminations de la ville. « C'était un travail intéressant, plus artistique, qui changeait de l'entretien. Avec ce projet, ils étaient dans la création. »
Dernière étape, l'animation des lumières. Les employés ont dû s'initier à la programmation pour faire bouger simultanément ces trente-six sardines, disposées de chaque côté de la Vilaine.

Toutes les trois minutes

Le résultat est une animation de cinq minutes, durant lesquelles une sardine, perdue dans la Vilaine, cherche son chemin. Lorsqu'elle arrive dans le canal, elle appelle ses amies. Se forme alors un banc de sardines, qui accélère progressivement avant de se séparer.
« C'est l'histoire que nous avons inventée, mais les gens verront ce qu'ils veulent », ajoute Bertrand.
La boucle animée se répétera toutes les trois minutes, de 17 h 30 à 23 h.

On attend les images animées…