"en mode sardines"

Merci la grève SNCF !
Désormais on dit : "voyager en mode sardines" (selon le journal Luxemburger Wort qui s'y connaît en sardines)

Départ plus tôt, retour plus tard, "mode sardines" omniprésent Dans les témoignages reçus à la rédaction, c'est le mot qui revient le plus: le "mode sardines". Pour les non-initiés, ce terme désigne le fait d'être très proche physiquement de ses compagnons de voyage, faute de trains plus grands et de places assises. Une sorte de métro parisien, mais dans le TER français. Jour de grève oblige, moins de trains étaient programmés à la circulation et donc davantage de monde se retrouvait dans les trains roulants. Une situation exaspérante pour bon nombre de voyageurs. S'ajoutent à cela des départs plus tôt le matin et des retours plus tardifs qu'à l'accoutumée. Pour ma part léger impact le matin ou je dois prendre le train 30 minutes plus tôt. Le soir horaire habituel. La seule contrainte subie en ces 3 mois est le mode sardine... — Laloétitia (@Laloetitia57) 27 juin 2018

Sardines Saupiquet à Quimper

Ce qu'il en reste…

Saupiquet fête vendredi et samedi ses 50 ans de présence au Moulin-Vert à Quimper. La filiale de l’Italien Bolton est leader pour le maquereau et le filet de sardine.

Assemblée plénière au Chapeau-Rouge vendredi avec la direction générale du groupe italien Bolton, portes ouvertes le lendemain à l’usine pour les familles des salariés. Saupiquet célèbre ses 50 ans de présence au Moulin-Vert. « Nous sommes sûrs d’être présent au Moulin-Vert depuis 1968 », commente Jean-François Boyard, directeur du site depuis 1999. Installé à son bureau, allée de Kergolvez, il dispose sur son ordinateur d’une image d’une carte postale de la première usine Saupiquet de Quimper installée à la Glacière sur le site de l’actuel multiplex Cinéville.

Une conserveriede légumes à l’origine


L’entreprise n’a cependant aucun document pour affirmer quand Arsène Saupiquet, qui a fondé sa première conserverie en 1877 et créée en 1891 la société anonyme de conserves Saupiquet, s’est installé en Cornouaille. « Au début du XXe siècle », avance Jean-François Boyard.
Pour le consommateur, Saupiquet évoque tout naturellement la conserve de sardines et plus encore de maquereaux. Tout faux. À l’origine, les sites Saupiquet en France sont des conserveries de… légumes. Sous la marque Cassegrain. Ce qui explique l’emplacement de l’usine près de la voie ferrée et de la rivière car les légumes nécessitent une forte consommation d’eau. « 80 % de l’activité était consacrée aux légumes. Le maquereau était travaillé l’hiver pour occuper le personnel », précise le directeur. L’installation au Moulin-Vert s’est traduite par le rapatriement à Quimper de l’unité Cassegrain de Gourin et de Saupiquet à Pont-l’Abbé.
la suite dans le Télégramme

Opération sardines à Strasbourg

Opération « sardines » devant des écoles de Strasbourg jeudi matin

 

 

Pas fraîche la sardine exposée au soleil de Kabylie?

Descente sur le marché de la sardine

Hier, une panique indescriptible s’est emparée des poissonniers officiant au niveau du marché hebdomadaire de M’Chedallah. Et pour cause : les contrôleurs des prix et de la répression des fraudes de l’inspection du commerce de la même ville, accompagnés du vétérinaire de la subdivision agricole locale et d’éléments de la Gendarmerie nationale, ont opéré des contrôles inopinés dans ledit souk, qui se sont soldés par la saisie de toutes les caisses de sardines mises en vente. Les griefs retenus contre les poissonniers se rapportent à la vente de cette denrée périssable au-delà de 10 heures, horaire de fin de commercialisation de ce produit de large consommation, fixé par la réglementation en vigueur. Les contrôleurs, arrivés vers 10h30, ont tancé de façon virulente les poissonniers, qui, comme assommés, étaient pris au dépourvu, ne réalisant pas ce qui leur arrivait. Au total, ce sont quatre vendeurs de sardines qui ont été contrôlés et verbalisés. Si certains poissonniers ont accepté le «verdict» sans opposer une grande résistance, d'autres, en revanche, ont exprimé leur colère en tentant de convaincre les contrôleurs et surtout le vétérinaire que les sardines vendues étaient «fraîches». Cependant, le vétérinaire, qui ne l'entendait pas de cette oreille, a rétorqué que l'état des poissons, exposés à la vente sous une chaleur suffocante, frisait l'avarie. Les contrôleurs, avant de saisir les marchandises, avaient aspergé les caisses de sardines avec du grésil, pour détruire les produits, qui seront, par la suite, mis dans des sacs noirs. A rappeler que la semaine dernière, c'étaient aux bouchers officiant au niveau de ce même marché de recevoir les contrôleurs, qui ont, là aussi, procédé à des saisies. Les contrevenants vendaient à l'air libre de la viande rouge, alors que la réglementation stipule que tout boucher doit équiper sa boutique de présentoirs frigorifiques, dans lesquels doit être mise en vente la viande. A l’issue de cette opération, cinq bouchers ont été convoqués à l'inspection du commerce de M'Chedallah.
Y Samir.

Non au parc éolien en Vendée

Le conseil municipal de Saint-Gilles-Croix-de-Vie s’est réuni lundi soir pour rendre son avis sur le projet de parc éolien en mer entre l’île d’Yeu et Noirmoutier.

Qu’a voté le conseil municipal ?

À l’unanimité, les élus du conseil municipal de Saint-Gilles-Croix-de-Vie ont voté un avis défavorable au projet d’un parc de 62 éoliennes en mer entre l’île d’Yeu et Noirmoutier. Ils demandent « des investigations complémentaires ».

Pourquoi ce choix ?

« À la lecture de l’étude d’impact, ce qui nous questionne, c’est le lieu choisi pour ce projet et ses conséquences sur la ressource en poissons et notamment les sardines », a détaillé François Blanchet, le maire de Saint-Gilles-Croix-de-Vie. Le poisson bleu, star de la commune, passe par le site où doivent être implantées les éoliennes lors de sa migration vers les côtes de Saint-Gilles.
L’étude d’impact indique que pendant la durée des travaux, environ deux ans, les poissons vont quitter le site et qu’au terme, ils « devraient peut-être revenir » mais sans certitude. « Si nos pêcheurs et la conserverie Gendreau n’ont plus de sardines pendant deux ans, comment fait-on ? Quid des emplois ? Nous avons échangé avec les gens de mer et conclu qu’il valait mieux tirer la sonnette d’alarme », a ajouté le maire.

Jean-Claude BOULARD

Disparition d'un grand ami de la sardine, Jean-Claude Boulard, député, sénateur, maire de la ville du Mans et surtout auteur de L'épopée de la sardine saga inégalée mais romancée de sardiniers douarnenistes…

Trésor des dieux

On les connaissait à l'huile, au citron, au poivre, à la tomate... Les voilà carrément « détox » et même aux algues bio par la grâce du Trésor des Dieux. La marque lance en effet ces deux variétés de sardines en boîte. La version détox joue un peu sur les codes de la diététique ayurvédique en associant curcuma, gingembre et poivre noir (la base du « lait d'or »), aux vertus anti-inflammatoires et hépato-protectrices. Celle aux algues (dulse, laitue et haricot de mer) capitalise sur les bienfaits (acides aminés, vitamines, antioxydants...) de ces légumes marins. Les sardines sont en tant que telles un super aliment : haute teneur en oméga-3, un acide gras très apprécié du système cardio-vasculaire, richesse en calcium (notamment dans les arêtes, qu'on peut aisément ingérer avec les sardines en boîte) et en phosphore pour la santé du squelette, vitamines B12 et D...

2018 : 5 000 tonnes autorisées pour les Français



2018, très bonne année pour les anchois, moyenne pour la sardine dans le golfe de Gascogne. Ce sont les premières tendances qui se dégagent de la nouvelle campagne Pelgas, menée au mois de mai par l’Ifremer.

Anchois, sardines, chinchards et sprats se plaisent dans les eaux du golfe de Gascogne. En témoignent les premiers résultats de la campagne Pelgas 2018, dévoilés ce vendredi, à Lorient, à bord du navire océanographique de l’Ifremer Thalassa : « En termes d’indice d’abondance, 2 018 est une très bonne année pour l’anchois, moyenne pour la sardine. Les stocks sont stables ». Pendant 35 jours, 24 heures sur 24, les scientifiques se sont relayés pour évaluer la biomasse de ces poissons bleus. Outre des mesures physico-chimiques (température ou salinité de l’eau) de leur environnement, ils ont collecté moult données sur ces petits pélagiques mais aussi leur nourriture (plancton) et leurs prédateurs. Une collecte de données qui passe par la pêche. En cela, le Thalassa a été appuyé par deux paires de chalutiers. Cela fait dix-huit ans que la campagne Pelgas est menée. Onze ans que les pêcheurs professionnels y sont associés. Une collaboration qui garantit un constat partagé. D’autant que les résultats de Pelgas, qui seront officiellement et intégralement donnés fin juin à Lisbonne, servent chaque année à l’établissement du total admissible de capture (TAC) de l’anchois dans le golfe de Gascogne.

5 000 tonnes autorisées pour les Français


Les principales nouveautés de cette campagne sont la présence accrue des anchois et des sardines sur la vasière du golfe de Gascogne, et notamment dans les eaux de surface. « Les pluies abondantes de l’hiver et du printemps qui ont gonflé les fleuves ont entraîné un important apport d’eau douce et de sels minéraux », expliquent Mathieu Doray et Erwan Duhamel, chercheurs à Ifremer Nantes et Lorient. « Cela a profité au phytoplancton dont se nourrissent ces poissons ». En 2017, l’indice d’abondance établi par l’Ifremer évaluait le stock d’anchois à 120 000 tonnes dans le golfe de Gascogne. Le TAC 2018, partagé entre Espagnols et Français, était de 33 000 tonnes, dont 5 000 pour la seule flottille hexagonale. Elle est composée d’une quinzaine de paires de pélagiques, d’une trentaine de bolincheurs et d’une trentaine d’occasionnels, qui pêchent de juin à octobre selon les métiers. Les premiers résultats de 2018 sont de bon augure pour le TAC 2019. Reste à les coupler avec ceux des campagnes espagnoles (œufs et juvéniles) qui se déroulent jusqu’en octobre.

in : http://www.letelegramme.fr/economie/poissons-bleus-des-stocks-stables-01-06-2018-11979270.php

Les voleurs de sardines d'El Jadida

Encore très jeunes, ces deux malfrats se tiennent au box des accusés à la salle d’audience à la chambre criminelle près la Cour d’appel d’El Jadida, poursuivis en état d’arrestation pour constitution d’une association de malfaiteurs et vol qualifié. Certes, ils nient les charges retenues contre eux, mais leurs aveux lors de leurs interrogatoires effectués par les éléments de la gendarmerie royale de la capitale de la région de Doukkala les mettent en cause. En effet, selon le procès-verbal, ils ont volé deux camions remorques transportant des boîtes de sardines en conserve.
Lors de la première opération, ils ont volé le camion remorque qui venait de s’arrêter, à l’entrée de la ville d’Azemmour, par son chauffeur. Ce dernier était juste descendu pour faire ses besoins. Le camion remorque transportait une cargaison de 68.600 boîtes de sardines en conserve. Retournant au camion remorque pour reprendre son chemin, le chauffeur a été surpris par l’un des deux malfrats qui lui a aspergé le visage de gaz d’une bombe lacrymogène. Dès qu’il est tombé par terre, les deux malfrats sont montés à bord du camion remorque pour que l’un d’eux le conduise. Le lendemain, le camion remorque a été retrouvé dans la région de Mediouna. Le duo a mis la main sur le téléphone portable du chauffeur, une somme d’argent et quelques centaines de boîtes de sardines en conserve. La seconde opération a eu lieu quelques jours plus tard. Le chauffeur d’un camion remorque a expliqué aux enquêteurs de la gendarmerie royale d’El Jadida qu’il a remarqué de grosses pierres lui coupant le chemin au niveau de la route nationale n°1. Mais quand il est descendu pour dégager la route, un jeune homme l’a attaqué à la bombe lacrymogène. Les deux malfrats se sont emparés du camion remorque qui était chargé de vingt tonnes de boîtes de sardines en conserve. Repérés par les gendarmes, les deux malfrats ont été arrêtés.
Verdict: 10 ans de réclusion criminelle pour chacun des deux malfrats.

Filets de sardine

Pickles de sardines, yaourt grec, concombre et menthe