Black Friday ! C'est le moment !!!

Maroc: des sardines à 1,5 DH le kilo!


DR©lesiteinfo.com
Vous avez bien lu! Le kilo de sardines , non pas à 15 DH, mais à 1,5 Dh! Et cela se passe à Safi, depuis les deux derniers jours, selon une source de Le Site info.
Ce prix bas s’explique par les grandes quantités de sardines ramenées par les chalutiers de pêche du port sardinier du Royaume. La même source précise qu’en un seul jour, 800 tonnes de sardines ont été pêchées . Et lundi dernier, les poissonniers ont dû vendre le kilo à moins de 2 dirhams.
Par d’ailleurs, d’autres quantités de sardines ont été  transportées dans plusieurs conserveries avant qu’elles ne deviennent inconsommables. Cette pêche “miraculeuse”, cette manne venue de la mer, a participé à la baisse vertigineuse du kilo de sardines, 1,5 DH ou même moins  dans certains étals.
Ce qui a eu pour conséquence sur certains marchands d’avoir été obligés de brader un cageot de 22 kilos de poisson à 30  dirhams seulement.
M.R. ici

 

Carle : boulettes marocaines contaminées


Kiosque360. Les Marocains auraient consommé, durant toute une année, des sardines toxiques conservées dans de la sauce tomate. C’est l’Office national de sécurité sanitaire des produits alimentaires (ONSSA) qui l’a confirmé. Révélations.
La santé des consommateurs marocains demeure un vain vocabulaire pour certaines parties. C’est ce que laisse entendre les révélations de l’Office national de la sécurité sanitaire des produits alimentaires (ONSSA) à propos des sardines,  conservées en sauce tomate, toxiques, et écoulés sur le marché. En effet, les contrôles effectués sur des produits de la pêche dans la région de Tanger-Tétouan-Al Hoceima ont montré que des boulettes de sardines conservées en sauce tomate ne seraient pas conformes aux normes et aux règlementations en vigueur. Les contrôles effectués par les services vétérinaires provinciaux de Larache ont montré que ces boulettes de sardines conservées en sauce tomate contenaient une quantité élevée d’histamine.

Ces produits de marque «Carle» seraient déjà sur le marché depuis le 22 octobre 2018. Leur date d’expiration va jusqu’au 22 octobre 2021. C’est pour cela que l’Office National de Sécurité Sanitaire des produits Alimentaire (ONSSA) ouvrira une enquête approfondie…… La suite ici dans Kiosque 360

A bord du War Raog


Les cassés de la mer

 


 



Marin, le métier le plus dangereux
Avec plus de mille blessés et une dizaine de morts chaque année, la pêche est le secteur professionnel le plus dangereux en France. Face à la dureté de leurs conditions de travail, beaucoup de marins craquent ou se réfugient dans les paradis artificiels. Rencontre dans le Finistère avec ces hommes malmenés par l’océan et son économie.
e signal se fait sans un mot. Seulement le moteur qui vrombit, crachote et ralentit. On y est. La sardine frétille, là, tout près de la coque. Les six pêcheurs lâchent leur tasse de café, enfilent leur salopette cirée jaune, sautent dans leurs bottes et s’élancent sur le pont. Le jour décline. « Laisse aller ! », hurle le patron du bateau, M. Thomas Hamon, depuis la passerelle. Sans attendre, les marins jettent à la mer la senne, l’immense filet à mailles rouges des sardiniers. Le capitaine du War Raog III, qui vient de quitter Concarneau, accélère et trace un demi-cercle dans la baie.
C’est de cette chasse quotidienne et éprouvante que vivent les 2 500 pêcheurs du Finistère, département qui représente 50 % de la pêche bretonne en termes d’effectifs et de navires. En quelques minutes, la senne se referme sur des milliers de poissons. Corps voûtés, bras tendus, les pêcheurs tirent le filet pour les ramener vers la coque. Pour réussir, la manœuvre doit être rapide. Trois à l’arrière du bateau, trois à l’avant, les hommes enchaînent les opérations, crispés, dans les giclées d’eau froide. Sur la plate-forme mouvante, le moindre faux pas peut les mettre en danger.
Les traits tirés, M. Alan Daoudal hisse une corde lestée de plomb, lourde de plus de quatre tonnes. Avec des gestes amples, son collègue range les trois cents mètres de filet imbibés d’eau. À l’arrière du bateau, le plus jeune de l’équipage ramène une à une les dizaines de bouées flottantes de la senne. Soudain, à la surface de l’eau, les poissons apparaissent, brillants dans les derniers rayons de l’heure bleue.
Une grande épuisette, reliée à une grue installée à l’avant, plonge dans la mer et remonte trois cents kilos de sardines. Elles sont enfouies dans les cales et recouvertes de pelletées de glace. La manœuvre se répète, et trois tonnes de poissons bleus sont ainsi chargées. En ce mois de février, c’est le quota maximum des sardiniers concarnois, plus communément appelés « bolincheurs ». Il peut grimper, l’été, jusqu’à plus (...)
par Alice Raybaud  in Le Monde diplomatique déc.2019
image : Eleanor Fein. — « Escape » (L’Évasion), 2016
© Eleanor Fein - Bridgeman Images

Sardines italiennes

Les « sardines » italiennes, en rangs serrés contre Salvini
« La fete est finie, Salvini » : tel est le slogan minimaliste des « sardines » italiennes qui veulent bloquer la marche fatale de Matteo Salvini vers le Palazzo. Qui eut cru que ce poisson prolo pouvait devenir en quinze jours le symbôle de l’ultime espoir des démocrates Italiens, effrayés par les sondages qui donnent maintenant la droite subversive à 49,5% des intentions de vote en cas d’élections anticipées ? La marque sera bientôt enregistrée pour éviter les contrefaçons. Mais il faut d’abord se convaincre que ces « sardines » made in Italy ont une saveur vraiment spéciale. Et qu’elles méritent d’être goutées dans leur originalité. …
 … Le credo des sardines ? Il pourrait tenir en une affirmation : «Chers populistes, pour vous c’est fini!» Au pays des frasques salviniennes à répétition, cette conviction surprendra. Jetons un coup d’œil au Manifeste du « peuple des sardines » rendu public sur Facebook le 21 novembre. Le texte a été écrit par quatre jeunes trentenaires, Giulia Trappoloni, Andrea Gareffa, Roberto Morotti, et celui qui est considéré comme le fondateur du Mouvement, Mattia Santori, 32 ans.
Marcelle Padovani
La suite dans l'Obs du 24 novembre 2019

Sardines de tous pays…

 

Italie: le mouvement des «sardines» s'attaque à Salvini et l'extrême droite

Par Le Figaro avec AFP
Après avoir rempli les places de Bologne et Modène, dans le nord de l'Italie, le mouvement spontané des «sardines», contre La Ligue de Matteo Salvini, a appelé à une série de manifestations visant à contrer l'extrême droite.
Devenues le symbole de la protestation contre Matteo Salvini, les «sardines» ont appelé à des manifestations dans les prochains jours à Reggio d'Emilie, Rimini et Parme, des villes du Nord où l'ancien ministre de l'Intérieur a aussi prévu des meetings. «A Bologne, ils disaient qu'ils étaient 100.000 sur une place prévue pour accueillir 10000 personnes, une mensonge qui reflète le style de la Ligue, pour parvenir à l'adhésion par le mensonge», a déclaré sur Facebook Mattia Santori, 32 ans, l'un des fondateurs des «sardines». «Bientôt nous annoncerons sur Facebook une belle mobilisation de sardines à Milan», le fief de la Ligue, a-t-il ajouté.
Sur la page «L'archipel des sardines», créée sur Facebook, le mouvement explique qu'il entend rassembler les personnes qui se reconnaissent dans les valeurs de l'antifascisme. «Notre objectif est de créer un axe entre le nord et le sud de la péninsule, de nous coordonner», explique Susy Iovieno, l'un de ses promoteurs.

Les sardines de Bologne






L’objectif était d’atteindre 6 000 personnes. Ils ont doublé leurs espérances. A Bologne, capitale de la région d’Emilie-Romagne, présidée par Stefano Bonaccini, membre du parti démocrate (PD), près de 12 000 personnes se sont rassemblées sur la très emblématique « Piazza Maggiore ».
Serrés comme des « sardines », poissons bricolés en aluminium en mains, chantonnant « Bella Ciao », ces Bolognais ont manifesté contre la présence de Matteo Salvini, leader de la Ligue (extrême droite), venu soutenir sa candidate aux élections régionales de janvier prochain.
in L'Obs 15/11/2019


Les vraies sardines de Marseille pour touristes

La boutique Les Sablés Marseillais a ouvert ses portes il y a seulement un mois, rue de l’Evêché. Après 4 ans d’existence, ces créations originales aux saveurs provençales sont aujourd’hui commercialisées au grand public.

 

Ils sont connus sous le nom des Frétillantes. Ces sablés, confectionnés sous la forme de petites sardines, ont trouvé leur place à quelques pas seulement du port, au coeur du plus vieux quartier de Marseille. Ce biscuit en 3D, basé sur une recette familiale, était depuis sa création destiné aux professionnels de la restauration, avant de trouver un second souffle auprès d’une clientèle de proximité.…/…

Commercialisées dans des fioles, en guise de souvenir de Marseille, ou par packs, les sardines sont avant tout un produit artisanal, conçu dans un moule exclusif dans la plus pure tradition. A la fleur d’oranger, à l’anis, au citron ou au thym, les sablés se déclinent selon les goûts des clients.…/…

Disposés le long d’une corde contre le mur, les t-shirts, débardeurs et tabliers à l’effigie de la petite sardine sont eux aussi à la vente. Un retour aux sources et une pointe de fraîcheur dans cette nouvelle boutique du Panier.
in https://madeinmarseille.net/55838-sables-boutique-panier-anis-thym-sardine/


Infos pratiques
Les Sablés Marseillais, 12 rue de l’Evêché, 13002 Marseille.
04 91 52 23 76
www.lessablesmarseillais.com

L'O.M. n'a pas digéré le titre de l'Equipe magazine !

OM : Pierre Ménès fustige L’Equipe pour sa Une polémique

Si L’Equipe voulait faire parler d’elle hier, c’est réussi ! Mais aucun supporter de l’OM n’a apprécié sa Une « La sardine devenue dauphin ». Même Pierre Ménès, ancien du quotidien, a trouvé ça mauvais.
Qu’est-ce qui a pu se passer dans la tête du rédacteur en chef de L’Equipe pour qu’il valide la Une de l’édition de mardi où figurait le titre « OM : la sardine devenue dauphin » ? La sardine étant le terme péjoratif associé à la ville, il était évident que cela allait faire jaser, notamment sur les réseaux sociaux. Et ça n’a pas manqué.
Même Pierre Ménès, pourtant ancien de L’Equipe, a trouvé que c’était de mauvais goût : « J’ai toujours pensé que le terme sardine était méprisant. La quête du jeu de mots à tout prix tombe complètement à plat. Je ne comprends même pas qu’on puisse passer un titre pareil. Triste ».
in butfootballclub.fr


Sardines de Copenhague

Herbes et baies posées sur une cuillère-langue en silicone. E.V.B. / « LE MONDE »
Où faut-il aller pour déguster la sardine croustillante la plus branchée de la planète et la plus chère aussi ? A Coppenhague bien sûr, au Danemark où l'on s'y connaît en poisson.
La sardine croustillante est une spécialité du restaurant-spectacle qu'a ouvert Rasmus Munk cette année. En réservant très longtemps à l'avance votre dîner dans cet ancien théâtre où le menu se divise en actes et en scènes allant de surprises en surprises, vous aurez le privilège de jouer avec les expériences que propose ce chef tombé dans une marmite moléculaire…
i
n lemonde.fr J’ai testé le dîner fou en 50 étapes de The Alchemist, © Elvire von Bardeleben

La collection de M.F. Doyen

Montfort-sur-Meu. Qu’est-ce que collectionne un puxisardinophile ? 

 Le salon des collections a ouvert ses portes à une trentaine de collectionneurs : picariophile (1), cartophile, puxisardinophile (2) et bien d’autres sont à découvrir aujourd’hui à Montfort-sur-Meu, à l’Ouest de Rennes. 

Le comité des fêtes de la ville a convié une trentaine de collectionneurs sur cette 12e édition du salon des collections, un rendez-vous bien installé pour ces férus d’objets en tous genres. « Les collectionneurs viennent de toute la France, avec de très belles collections inédites », note Patricia Langevin, membre organisateur du comité des fêtes de la ville. La salle du Confluent, où se déroule l’événement, restreint le nombre de collectionneurs tant l’engouement et le plaisir du partage sont grands.

« L’édition 2020 est déjà complète et des collectionneurs sont déjà inscrits pour 2021. » Une trentaine de collections sont donc présentées depuis samedi, les exposants viennent de partout et dès les portes passées les visiteurs plongent dans l’authentique.
Gilles Arnault, installé à l’entrée du salon présente sa collection de briquets de table, « j’en possède plus de 15 000 que je collectionne et que je restaure moi-même ! » souligne-t-il fièrement. Un peu plus loin, Éliane Esnault présente un stand de sucriers anciens qu’elle a commencé à collectionner, grâce à deux belles pièces que possédait sa mère. « Ces sucriers étaient le cadeau de mariage de mes parents, qui se sont unis pendant la guerre, raconte-t-elle. Je les ai tant regardés étant petite, mais sans avoir droit d’y toucher ! »
À noter qu’Éliane collectionne aussi les terrines en forme d’animaux, de Michel Caugant. Et c’est certain, elle reviendra lors d’une prochaine édition pour les présenter.

Sur ce salon, il n’y a pas que de drôles d’objets à découvrir, il y a aussi de belles histoires à écouter, car les exposants sont plus que disponibles pour partager chacun leur passion, comme Marie-France Doyen, collectionneuse depuis ses 10 ans. « J’ai commencé par les étiquettes de fromage, les pots de yaourts fermiers et depuis quarante ans ce sont les boîtes de sardines, » raconte Marie-France. Elle possède près de 500 boîtes, à l’effigie des régions visitées lors de ses séjours en camping mais aussi des boîtes datées ou déclinées selon les signes astrologiques.
Une collection qui conserve et qui emmène Marie-France et son époux sur plusieurs salons en France toute l’année !
Dimanche 10 novembre, de 10 h à 18 h à la salle du Confluent à Montfort-sur-Meu, entrée gratuite.
(1) Collectionneurs de pichets. (2) Collectionneurs de boîtes de sardines.
in Ouest-france.fr 9/11/2019

Du plastique dans les sardines

L’océan, ce patrimoine vital à protéger d’urgence

©https://usbeketrica.com/article/ocean-ce-patrimoine-a-proteger-d-urgence

L’avenir des océans s’annonce sombre, sous le triple fléau de la surpêche, de la
pollution au plastique et de l’excès de transport maritime. La menace pèse à la fois
sur les écosystèmes marins et sur la sécurité alimentaire de l’humanité. L’espoir est
pourtant permis d’inverser la tendance, assure cet article de la Fondation BNP Paribas.

Grand connaisseur du terrain, le directeur de recherche de l’IRD met en garde contre le changement de configuration du plancton en Méditerranée. « En gagnant 1,5°C sous l’effet du réchauffement, cette mer ne permet plus aux sardines qu’elle abrite de se reproduire. » Idem pour les anchois du Pérou, transformés annuellement pour l’alimentation animale à hauteur de près de 10 millions de tonnes, et dont l’épuisement a incité l’industrie chinoise à capter les sardinettes d’Afrique de l’Ouest. « Les sardines et anchois de Namibie ont presque disparu », s’alarme Philippe Cury. « Dans ce contexte, les méduses viennent en abondance et gélifient l’écosystème. Des oiseaux désertent et des poissons meurent. Entre 60 % et 95 % des espèces marines ont fondu. » 

À la surpêche et à ses incidences s’ajoute la négligence coupable du consommateur lui-même, rompu à l’usage des plastiques. Les déchets issus de cette matière n’épargnent aucun espace. Forte de 45 antennes bénévoles dans 12 pays européens et spécialisée dans la lutte contre cette pollution,  Surfrider Foundation Europe évalue cette dernière à quelque 3,5 millions de kilomètre carrés, soit un tiers de la surface de l’Europe. La pollution de l’océan provient à 80 % de la terre ferme. « Les déchets sont partout en mer. Si 30 % d’entre eux sont visibles en surface, le reste atteint les fonds marins et détériorent au premier chef la “pompe” carbone qu’ils représentent », souligne Antidia Citores. Le pollueur oublie son forfait alors qu’il est lui-même impacté. « Plus de 650 espèces marines sont victimes d’ingestions de plastiques mais l’être humain est, lui aussi, menacé », poursuit la porte-parole de  Surfrider Europe. « Les plastiques se fragmentent en micro-plastiques. On sait que 100 % des moules en contiennent. » L’industrie des cosmétiques porte ici un passif lourd, dont le prix s’élève à plus de cinq mille milliards de particules de plastiques issues de sa production essaimant dans les eaux, dégradant leur qualité et compromettant la santé des usagers.

…/… in https://usbeketrica.com/article/ocean-ce-patrimoine-a-proteger-d-urgence

Des sardines japonaises dans la PS4

Disgaea 4 est sorti une première fois sur PS3 en 2011. Puis, en 2014, la PS Vita voit débarquer une version largement améliorée. C’est cette dernière que l’on peut maintenant trouver sur PS4 et Switch. Le jeu n’a-t-il pas trop vieilli ? Notre verdict, sans tarder.
Autrefois terrible vampire très puissant, Valvatorez est devenu un simple éducateur de Prinnies depuis qu’il a perdu tous ses pouvoirs, suite à la promesse de ne plus consommer de sang humain. Les sardines sont devenues sa seule source d’alimentation, et semblent lui donner des aptitudes très spéciales. Valvatorez ne jure maintenant que par elles. Tout irait bien dans le Sous-Monde si les Prinnies ne s’étaient pas mis à pulluler, envahissant les enfers. Le Gouvernemort décide donc de les éliminer, mais Valvatorez, qui leur a fait une promesse, se doit de les protéger afin de pouvoir tenir parole. Son honneur de vampire est en jeu ! Il décide alors, avec son fidèle serviteur loup-garou Fenrich, de renverser le Gouvernemort. Cette bataille électorale va prendre des proportions épiques et des personnages aussi surprenants qu’inattendus vont se jeter dans la bataille, comme un ange cupide, une collégienne qui pense être dans un rêve ou un robot surpuissant. Un scénario farfelu, déjanté à souhait, qui sait aussi se montrer émouvant à travers de nombreux flashbacks sur les personnages, histoire de mieux comprendre ce qui les motive. Si vous trouvez que les Prinnies sont maltraités ou que vous ne comprenez pas l’importance des sardines, des éléments de réponse sont dans notre interview du créateur Sôhei Niikawa.
(extrait)
G : Vous aussi, vous mangez des sardines pour devenir plus fort ?
S. N : La sardine est un plat quasiment national au Japon et qui est très bon. J’aime beaucoup ça également. C’est très bon pour la santé.

in gamingway.fr  la suite ici


Sardines algériennes à Beni-Saf



Publié aux éditions Ibn Khaldoun Tlemcen, cet ouvrage de 125 pages dédié à la sardine raconte toute la chronologie de cette espèce qui fait l’histoire de la ville de Beni Saf.
Dans son livre, l’auteur met en avant le mode de vie des sardines, leur évolution, leur manière de se déplacer en grand nombre à travers toute la méditerranée, leur développement sur les fonds vaseux, et bien plus encore. Les techniques de pêche anciennes et nouvelles y sont également évoquées. Une pêche qui, selon M. Benallal, remonte au temps de la préhistoire où l’homme utilisait la ligne à appât. Il faut savoir que la sardine est le poisson le plus pêché de la mer Méditerranée.
D’ailleurs, le lambda bénisafien l’aurait baptisée «serdina», un nom qui, paraît-il, proviendrait de la Sardaigne. Les bienfaits de ce poisson bleu sont largement cités. L’écrivain, notamment, indique que la sardine, riche en oméga 3, est une protéine excellente pour l’équilibre et l’alimentation.
Des fabuleux repas gastronomiques de sardines grillées ou en sauce sont relatés dans l’ouvrage qui nous ferait même saliver les papilles. Un épilogue sur la vie quotidienne des Bénisafiens dont l’état d’esprit tourne autour de la sardine.
in elwatan.com 04 novembre 2019 ici

La belle alliance vendéenne

Le petit poisson bleu de Saint-Gilles-Croix-de-Vie, une image indissociable de la ville. (@ Le Courrier Vendéen).

La Maison Gendreau, est l’une des plus anciennes et des plus importantes conserveries de Saint-Gilles, fondée en 1903. Elle commercialise la sardine sous la marque historique « les Dieux » ; un produit de qualité et un savoir-faire centenaire entre tradition et modernité dans la conserve de poissons – sardines, maquereau, thon, saumon, truite – et dans la fabrication de recettes élaborées. Labellisés Bio, label Rouge, MSC, des produits élus Saveur de l’Année et 100% fabriqués en France à Saint Gilles Croix de Vie nécessitent des poissons extra et une qualité constante.

Pour sécuriser l’approvisionnement de la conserverie tant en qualité qu’en quantité, Philippe Gendreau, gérant de la société, a décidé de lancer dans l’armement à la pêche. Il s’est associé à Jérémy Chagnolleau, fils de pêcheur et ancien patron du Trafalgar, un chalutier polyester de 12 m construit en 2001 au chantier Plasti-Pêche qu’il a revendu à un armateur de Cherbourg. Ensemble ils ont créé La Belle Alliance  et décidé de construire deux chalutiers de 15 mètres. Ce sera les premiers bateaux neufs du jeune patron en qui Philippe Gendreau à une totale confiance.

La conception des nouveaux navires a été confiée au bureau d’architecture navale Coprexma, leader en la matière. Un gros travail sera réalisé pour assurer le niveau de qualité exigé. L’amélioration du triage et de la conservation à bord notamment avec des cuves tampon d’eau réfrigérées et un stockage en conteneurs, permettra de répondre aux contraintes liées à la pêche au chalut de la sardine – le navire débarquant toutes les 8 à 10 heures, contre 6 heures pour un bolincheur.
L’enjeu est d’autant plus important dans un contexte où les saisons sont incertaines. Cette association sécurise aussi les prix d’achat. C’est gagnant – gagnant pour le pêcheur et le conserveur. Cette démarche est d’ores et déjà plébiscitée par les mareyeurs de Saint-Gilles-Croix-de-Vie. La ville qui veut défendre sa position de grand port sardinier et donner un nouvel élan à cette économie ne peut donc que se féliciter de La Belle Alliance.
in coprexma.fr  ici