Les sardines contre le cholestérol : mieux que les statines !

Poissons gras anti-cholestérol : les sardines

Cela paraît paradoxal et absolument illogique : les sardines, qui appartiennent à la catégorie des "poissons gras", seraient en réalité des aliments santé, qui permettraient de lutter contre le cholestérol ? Cela s'explique tout simplement : il y a "gras" et "gras", lorsque l'on parle des acides gras… Et certains sont primordiaux pour notre santé !
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Les sardines : le poisson santé !

Les sardines sont en effet des poissons gras, mais cela n'empêche pas que les mots "sardines" et "santé" peuvent tout à fait rimer ! En effet, le "gras" qu'elles contiennent constitue des "acides gras insaturés", dont font partie les fameux omégas-3. L'organisme humain ne sachant pas les générer, ils doivent donc être apportés par le biais de l'alimentation. Ces acides gras insaturés sont essentiels pour une bonne santé, car ils assurent une protection contre les maladies cardio-vasculaires, comme le régime alimentaire des Inuits l'a prouvé dès les années 1970. Consommer des sardines, malgré leur réputation de "poissons gras", est donc une bonne manière de lutter contre le cholestérol, car 100 grammes de sardines à l'huile procurent jusqu'à 7,5 grammes d'acides gras insaturés.

Des sardines pour combattre le cholestérol ?

Comment se fait-il que les acides gras insaturés des sardines puissent être des alliés anti-cholestérol (donc anti-gras !) pour l'organisme ? Tout bonnement parce que les acides gras omégas-3 font diminuer la quantité de graisses dans le sang. Les omégas-3 peuvent en effet réduire d'un quart à un tiers le taux de triglycérides dans le sang si on ingère quotidiennement de l'huile de poisson – comme les Inuits le font, on y revient ! De quoi se prémunir efficacement des AVC (accidents cardio-vasculaires)…
in Medisite

Nouvelle usine algérienne à Skikda

L’usine, d’une capacité de production de 16 tonnes par jour, aura à mettre en boîtes des miettes de thon et de sardines à raison de 250 boîtes par minute. «Le montage de l’usine est en cours, et selon son patron, un natif de Skikda, elle devrait produire ses premières boîtes au cours du second semestre de l’année prochaine», ajoute le DPRH. Cet acquis va générer 220 postes d’emploi permanents et viendra réconforter le tissu industriel sectoriel de l’est du pays qui a été nettement affecté après la dissolution des deux unités de transformation qui existaient à Collo et Jijel. Cette nouvelle usine n’est cependant pas l’unique acquis dans la wilaya de Skikda. Selon le DPRH, le programme d’investissement sectoriel comprend également huit projets d’élevage de loups de mer et de dorades dans des cages flottantes.

Pêcheurs et chercheurs travaillent ensemble, et s'intéressent à la sardine

Les pêcheurs français et les chercheurs de l'Ifremer viennent de renouveller un partenariat de 4 ans, pour travailler ensemble sur la préservation des ressources. Ces dernières années, ils avaient découvert ensemble les raisons de la baisse de la taille et du nombre des sardines.
Les pêcheurs français et l'Ifremer ont reconduit ce jeudi pour quatre ans un partenariat qui prévoit des projets de recherche communs, afin de mieux comprendre et préserver la ressource halieutique.
"Il s'agit de mieux connaître l'état de la ressource, anticiper et prendre les bonnes décisions pour les quotas de capture", a résumé Gérard Romiti, président du comité national des pêches, signataire de cet accord-cadre avec l'association France Filière Pêche et l'Ifremer.

82 projets menés à bien

Durant les quatre premières années de ce partenariat, 82 projets ont été menés, pour 24 millions d'euros, dont 13 millions avancés par France Filière pêche, a rappelé Gérard Higuinen, président de France filière pêche, chargé notamment de promouvoir les produits de la pêche française.
"Il y a deux types de recherche: la connaissance des espèces et l'environnement, pour les deux tiers, et la sélectivité et les techniques de pêche, pour un tiers", a-t-il précisé.

Le problème pour la sardine : le phytoplancton

Parmi les projets menés ces dernières années, l'Ifremer et les pêcheurs se sont ainsi intéressés à la sardine de Méditerranée, dont "les débarquements ont fondu et la taille moyenne des poissons a également fondu", a indiqué François Jacq, président l'Ifremer.
Après avoir étudié et écarté de nombreuses hypothèses, parmi lesquels la surpêche, la voracité du thon rouge ou la présence de bactéries, l'Ifremer a finalement pu établir qu'il s'agissait d'un problème de nourriture, le phytoplancton étant "soit moins nourrissant, soit moins abondant".
Ce partenariat a également permis de procéder à des expériences permettant de réduire les rejets en mer "d'espèces soit non désirées, soit non commercialisables", selon Youen Vermard, président de l'association française d'halieutique et cadre de recherche à l'Ifremer.
"On arrive sur certaines espèces à plus de 50% de diminution des rejets",
indique Youen Vermard.
Par Ghislaine Milliet avec AFP

Les sardines en boîtes vont-elles coûter plus cher ?

La baisse des quotas de pêche et la raréfaction de certaines espèces de poissons vont sans doute entraîner une hausse des prix de vente. Les poissons en boîte deviendront-ils un produit de luxe ?
Les consommateurs ne réalisent pas toujours, en ouvrant une boîte de sardines, que ce produit deviendra peut-être bientôt un mets de luxe. Les prix des conserves de poissons vont-ils flamber ?

Sardines, maquereaux, thons en conserve… vers une flambée des prix ?

 

 

Les producteurs de boîtes de conserve vont bientôt renégocier le prix de vente auprès des magasins de la grande distribution. Il se pourrait que cette année, ils réclament une hausse de 15 % aux distributeurs, et ce pour des raisons simples : les quotas de pêche sont plus stricts. S’il y a moins de poissons disponibles, les prix pourraient flamber. 

Car les volumes de poissons vendus en boîte – comme la sardine, le thon et le maquereau –  ont considérablement chuté depuis deux ans. En 2016, le quota de vente de sardines pour le Portugal était de 11.500 tonnes  : c’est 10 % de moins qu’en 2015. De même, les prises de thon albacore ont réduit de 15 % en 2017 par rapport à 2015.


« Nous avions demandé 15 % d’augmentation en 2016, nous avions obtenu quelques pourcents de plus. Nous demandons de nouveau 15 % de hausse de tarif », explique Amaury Dutreil, directeur général de Petit Navire, filiale du groupe thaïlandais Thaï Union avant d’expliquer que « Le thon albacore, le plus consommé en France, se négocie à un niveau historique à 2.600 euros la tonne contre 1.600 euros fin 2015. »
Les producteurs sont conscients de l’attente éthique des consommateurs en matière de pêche et souhaitent mettre en avant leurs pratiques durables et respectueuses de l’environnement grâce à la certification MSC (Marine Stewardship Council). Ils souhaitent participer à la protection des espèces marines dont les effectifs se raréfient depuis quelques années. Il n’y aura sans doute pas de pénurie pour autant dans les rayons des supermarchés, mais il faut donc s’attendre à une possible hausse des prix des boîtes de conserve.
in Consoglobe.com

Ouf ! La menace est écartée !

les experts rassurent


L’Institut National de Recherche Halieutique a réagi à un récent rapport indiquant que le stock de sardines dans les eaux avoisinant le Maroc est actuellement en dessous de la limite de la biomasse.
«La sardine marocaine n’est nullement concernée par l’avis d’information publié récemment par le Conseil International pour l’Exploitation de la Mer (CIEM)», assure l’Institut National de Recherche Halieutique (INRH) dans un communiqué parvenu à H24Info. L’institut réagit ainsi à la publication par le CIEM d’un rapport indiquant que le stock de sardines dans les eaux avoisinant le Maroc est actuellement en dessous de la limite de la biomasse.
Selon l’INRH, «le stock méditerranéen marocain de sardine est exploité de manière soutenable, et n’est en aucun cas menacé». En effet, l’avis d’information du CIEM concerne le stock de la sardine des divisions 8.c et 9.a, qui regroupent la côte ibérique, le Portugal et le Golf de Gascogne, précisent les experts marocains. Et d’ajouter que «les conclusions des scientifiques convergent pour affirmer que la pêcherie pélagique au Maroc est gérée de manière durable grâce aux plans d’aménagement et différentes mesures prises dans le cadre de l’axe durabilité du plan Halieutis».
L’INRH a également mené, il y a 15 jours, des évaluations en collaboration avec l’Institut Océanographique Espagnol (IEO). Ces analyses ont confirmé «un niveau d’exploitation soutenable» pour la sardine marocaine en Méditerranée. En d’autres termes, les quantités de sardines pêchées par les pêcheurs marocains sont en adéquation avec les limites du potentiel du stock.

Les sardines pour maigrir



Selon le Dr Saldmann les sardines sont un excellent aliment quand on cherche à maigrir. Il faut en effet plus de 9 heures pour que l'estomac les digère, retardant d'autant une nouvelle sensation de faim.

Menaces sur les sardines

Le stock de sardines en méditerranée menacé



Le Centre international pour l’exploration de la mer a attiré l’attention de l’UE sur  le stock de sardine dans la mer méditerranéenne et de l’océan Atlantique qui est actuellement en dessous de la limite de la biomasse.
Le stock de sardines dans les eaux avoisinant le Maroc est menacé. La sonnette d’alarme a été récemment tirée par le Centre international pour l’exploration de la mer (CIEM). Dans un rapport publié sur son site, le CIEM affirme que l’évaluation de la gestion du stock de sardine dans la mer méditerranéenne et l’océan Atlantique en 2017 a révélé que ledit stock est actuellement en dessous de la limite de la biomasse.
A retrouver ici