Quand la sardine philosophe



Ce sont onze petites histoires (parfois légèrement déjantées ou, à tout le moins fantasques sinon fantastiques) qui constituent cet ouvrage tout à fait recommandable.

Car il ne s’agit pas simplement de s’amuser avec la réalité pas plus qu’avec les grands noms de la philosophie (même si Diogène finit dans la peau d’un silure et Rousseau dans celle d’un paresseux jardinier adepte du laisser-faire). Non ! Hélène Péquignat est enseignante de philosophie et n’utilise ces subterfuges que dans la mesure où ils lui permettent de présenter des courants de pensée, des thèmes philosophiques pour les disséquer et en expliquer les tenants et aboutissants.

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