Bar à sardines de La Belle Iloise à Paris

Entreprise. La Belle-Iloise ouvre son premier bar à sardines à Paris





La Belle Iloise ouvre son premier bar à sardine à Paris. - Catherine Hilliet Le Branchi, PDG de la Belle Iloise, hier soir, lors de l'inauguration du Bar à Sardines, rue Montorgueil
La Belle Iloise ouvre son premier bar à sardine à Paris. - Catherine Hilliet Le Branchi, PDG de la Belle Iloise, hier soir, lors de l'inauguration du Bar à Sardines, rue Montorgueil | OUEST-FRANCE




La conserverie, fondée à Quiberon (Morbihan), a inauguré hier lundi 17 septembre 2018 son premier Bar à sardines à Paris, en présence de Caroline Hilliet Le Branchu, PDG de l’entreprise.
À deux pas des Halles, l’ancien ventre de Paris, la rue Montorgueil est l’une des plus gourmande de la Capitale. C’est là, au 55, entre l’historique restaurant le Rocher de Cancale et Stöhrer, la plus ancienne pâtisserie de Paris, que la Belle Iloise installe son enseigne bleue et blanche.

Au cœur du Paris touristique





La Belle Iloise ouvre son premier bar à sardine à Paris. | Ouest-France
Dans les 78 boutiques en France et en Belgique (les dernières viennent d’ouvrir au Cap Ferret, Bordeaux et Andernos en Nouvelle Aquitaine), les clients fidèles connaissent le guéridon où ils peuvent déguster à leur passage une spécialité du jour. Mais cette fois, au cœur du Paris touristique, l’entreprise quiberonnaise propose une nouvelle expérience culinaire, un bar à sardines.
« L’idée des bars divers et variés est très en vogue à Paris, explique Caroline Hilliet Le Branchu, PDG de l’entreprise et petite fille du fondateur. Ici, sur notre lieu de vente, nous avons aménagé un espace où l’on peut venir chercher chaque jour sandwichs, salades, quiches et les BBI (Burger Belle Iloise) du jour. Tous sont élaborés avec nos productions accompagnées de produits frais. »

Un atelier pour les amateurs

Quelques tables rouges sont disposées sur la terrasse sous le store, comme une invitation à glisse un peu hors du flot des passants de cette rue piétonne, l’une des plus fréquentées de Paris.




La Belle Iloise ouvre son premier bar à sardine à Paris. | Ouest-France
À l’intérieur de la boutique, un comptoir frais propose les recettes du jour. À l’extérieur, un bar ambulant offre aux plus pressés une halte gourmande.
Hier, soir de l’inauguration, les couleurs douces des boîtes de thon, sardines et autres maquereaux attiraient l’œil des badauds. Patrice Christopoulos, le chef de la Tablée, le restaurant nantais qui met la Belle Iloise à l’honneur, a quitté ses fourneaux pour proposer des recettes inédites.

La campagne de pêche bat son plein

Après Nantes, cette deuxième création de restauration est une étape importante pour la Belle Iloise qui réalise désormais 75 % de son chiffre d’affaires (50 millions d’euros) dans ses 78 boutiques. Rue Montorgueil, cinq ambassadeurs porteront le message des salariés de la maison (entre 350 et 600 pour suivre la saison de pêche).




La Belle Iloise ouvre son premier bar à sardine à Paris. | Ouest-France
« La campagne de pêche bat son plein, sourit Caroline Hilliet Le Branchu. Bien sûr, le quai d’où l’on voit les bateaux rentrer au port est loin mais nos boutiques racontent un peu de cette histoire aux citadins. Cette adresse nous permettra, j’espère, d’organiser des ateliers culinaires pour partager notre créativité avec celle des amateurs de sardines et de produits de la mer à Paris, et ils sont nombreux ! »

Sculpture sardinière à ETEL

« Bd des Zinzins ». Des sardines sculptées




Les techniciens des services communaux avec Etienne Pigeon, premier adjoint,...
Les techniciens des services communaux avec Etienne Pigeon, premier adjoint, aux côtés de la sculpture des sardines en boite, installée à l'angle du boulevard « des Zinzins ».
La sculpture des sardines en boîte a été placée, vendredi matin, par les techniciens communaux à l'angle du boulevard de Gaulle. Conçue, à l'origine du projet en 2013, pour être placée sur l'îlot de la rue de l'Océan, cette sculpture avait été destinée ensuite à l'angle Leclerc-Bougo, derrière le rond-point. Finalement, la municipalité a préféré réserver l'espace Leclerc-Bougo à de la signalétique et a opté pour ce nouvel emplacement. « Ici, c'est l'endroit idéal, c'est vraiment sa place », observait Etienne Pigeon, premier-adjoint, en évoquant le « boulevard des Zinzins » comme il était désigné autrefois, en référence aux zingueurs-sertisseurs qui avaient été employés par la commune, au temps de la crise sardinière des années 1913, pour construire cette chaussée-digue sur l'anse du Pradic.

Représenter le passé sardinier et usinier de la commune


Cette sculpture avait été commandée, en 2013 par la commune, au lycée des métiers Emile-James à la suite de la réalisation du thon découpé (autre référence aux conserveries) placé sur le rond-point Schwerer-Surcouf. L'idée avait été d'évoquer le passé sardinier et usinier d'Etel par l'enroulement du couvercle d'une boîte de sardines évidée, avec des dessins de poissons.

La collaboration de trois lycées morbihannais


Pour ce projet, le lycée Emile-James a collaboré avec les lycées Jean-Guehenno de Vannes et Colbert de Lorient qui disposent, pour leurs formations en chaudronnerie, des machines pour former et évider les plaques d'aluminium. Sous la direction de Jean-Yves Gauducheau et Bernard Jegouzo, enseignants, les élèves d'Emile-James ont réalisé le travail d'assemblage, soudure et peinture. « Bien mettre en valeur cette sculpture met aussi en valeur le travail des élèves », soulignaient Etienne Pigeon et Julien Penven, conseiller municipal. Un éclairage sera étudié pour souligner l'aspect graphique de cette oeuvre, et l'espace à ses pieds sera paysager de manière minérale. Interrogé sur d'autres projets à venir, Etienne Pigeon annonçait une troisième sculpture à installer, avant le 8 mai, en haut de la rue de la Libération, sans en dévoiler davantage, pour ménager le suspens.

C'est où Laâyoune ?

Paris- Le Front Polisario a déposé mardi après-midi une plainte devant le procureur de la République du Tribunal de Grande instance de Paris contre la société "Chancerelle", qui exploite la marque de conserverie "Connetable", pour activité "illégale" dans le territoire sahraoui.
La conserverie Connetable, implantée en France dans le Finistère, affirme vendre également des sardines issues du Maroc ce qui représente plus de la moitié de son activité et de son personnel. Or, ces sardines sont en réalité pêchées "illégalement" dans les eaux sahraouies, a expliqué le représentant du Front Polisario en France Bachir Oubbi Bouchraya, précisant que les conserves sont expédiées depuis le site de la société d’Agadir au Maroc, "mais tout le poisson vient des eaux sahraouies".
Mercredi dernier, Chancerelle a annoncé avoir conclu un investissement de 4 millions d’euros pour la construction d’une nouvelle usine de traitement de sardines, à El-Ayoun, capitale du Sahara occidental occupée par le Maroc.

la suite ici  in Algérie Presse Service 18:09:2018

Compagnie bretonne. Une boîte de sardines décorée par Amélie Fish



La nouvelle boîte de sardines millésimées 2018 de la Compagnie bretonne arrive ce lundi dans les épiceries fines. Chaque année depuis 2013, la Compagnie bretonne vend une série limitée de 40 000 boîtes de sardines millésimées et décorées par un artiste contemporain. « Nous souhaitons faire honneur au savoir faire historique de la conserverie et au travail créatif d’artistes contemporains locaux. L’occasion aussi de sélectionner la meilleure sardine fraîche de l’année pêchée mi-août », explique Sten Furic, de la Compagnie. Dans un style street art, le design de la boîte a été réalisé par l’artiste peintre Amélie Fish. Les couleurs utilisées explosent, les contours sont surlignés, à la manière des vitraux. Il est conseillé d’attendre 18 mois avant de consommer, le temps nécessaire pour apprécier ces sardines à leur juste valeur.
in 

Nouvelle usine Chancerelle à Laâyoune au Maroc

Voir le sommaire complet

La conserverie Chancerelle, plus connue pour sa marque Connétable, devrait achever un investissement de 4 millions d’euros (près de 43 millions de dirhams) dans la construction d’une nouvelle usine de traitement de sardines, à Laâyoune. « Ce site nous permettra de transformer les sardines dès que les bateaux accosteront afin de maintenir la chaîne du froid et de contrôler au plus vite leur qualité », a expliqué le PDG de la conserverie bretonne, Jean-François Hug, aux Échos.
Selon le quotidien économique français, l’usine pourrait faire travailler des « centaines de personnes » dans un site grand de 4.000 mètres carrés. Il s’agirait de la seconde usine de Chancerelle dans le Royaume, après celle d’Agadir ouverte en 2009 et employant près de 1.000 personnes. Cette dernière a notamment vocation à « l’export et au marque des distributeurs », explique Les Échos.

 

La sardine, un produit exporté

La nouvelle usine de Laâyoune entre dans le processus d’acheminement de sardines pêché au large du sud marocain. Elle permettra de conserver la chaîne du froid, une fois les bateaux de pêche amarrés au port. Les sardines y seront « nettoyées, éviscérées et placées dans la glace avant leur transport pour le site d’Agadir », poursuit le quotidien économique français.
Basée à Douarnenez (Finistère, France), la conserverie tire « près de la moitié des volumes de sardines mis en boite » des eaux marocaines, rapporte Les Échos. Un phénomène lié à l’insuffisance de bancs poissons en France et à une main d’œuvre plus attractive dans le Royaume. Contactée par TelQuel, une source proche de la délégation de pêche maritime de Laâyoune explique « qu’une majorité des industriels de la filière halieutique exporte vers l’Europe  ». Une activité créatrice d’emploi à plusieurs échelles, « de la simple activité de pêche, à la réparation de navires », explique notre source qui se réjouit du renouvellement en cours, mais pas encore voté par le parlement européen, du partenariat de pêche entre le Maroc et l’Union européenne (UE). « Cela va dynamiser l’activité économique et améliorer les normes techniques, notamment sur la traçabilité des espèces de poisson », affirme-t-elle.

Valorisation des produits

« Une trentaine de patrons de chalutiers marocains » auraient d’ores-et-déjà signé des accords de pêche afin d’alimenter  la conserverie en sardines. La glace nécessaire à la congélation à bord des navires sera fournie par l’entreprise bretonne : « Cela représente un coût, mais évite que les caisses de poissons soient stockées à température ambiante », explique Jean-François Hug.
Joint par TelQuel, le directeur régional de l’Office national des pêches (ONP) à Laâyoune, Khatari Ezaroili, abonde dans ce sens. « Il y a une meilleure valorisation des produits pêchés, notamment par les caisses de glace à bord des embarcations », explique-t-il. Des sardines valorisés et, donc, de « meilleure qualité », qui ont permis de compenser une baisse de volume de pêche dans la région. « On a connu beaucoup d’aléas en 2018 », indique Khatari Ezaroili. Avant d’ajouter : « Les conditions météorologiques défavorables ont entrainé des complications pour les pêcheurs d’aller en mer. Sur la période de mai à septembre, le volume a été fluctuant mais reste de l’ordre de 10.000 tonnes. »
D’après des chiffres avancés par le quotidien L’Économiste, la production nationale de la sardine « dépasse les 850.000 tonnes annuellement », dont 126.000 concernés par l’exportation des boites de conserve.

Bilan breton



B.A.I. - BRITTANY FERRIES - campagne (Sept - 36 - 37 - 38 - 39) - BAN
Débarque de sardine de bolinche le 22 août à Lorient. (Photo : Lionel Flageul)
Débarque de sardines de bolinche le 22 août à Lorient. (Photo : Lionel Flageul)

Relance de fin de saison pour la sardine

Timide en juillet, la sardine est revenue pointer le bout de ses branchies sur les côtes bretonnes après le 15 août, et les pêcheurs espèrent une belle fin de saison.
Nos confrères de Produits de la mer ont fait le point sur la saison à la sardine. Le bilan est mitigé en Cornouaille : à la baisse en tonnage (-15 %) mais meilleur en valeur (+6 %) par rapport à 2017, pour les trois ports sardiniers de la région : Douarnenez, Concarneau et Saint-Guénolé. Malgré la petite taille des sardines, le prix moyen est soutenu, du fait des quantités restreintes et, peut-être, de la vente unique organisée en Cornouaille. À Lorient, on se réjouit du retour des bolincheurs, partis pêcher plus à l’ouest pendant l’été.
Guillaume JORIS

Usine Nouvelle

 

La conserverie Chancerelle investit 6 millions d'euros à Douarnenez

La conserverie de poissons Chancerelle a prévu une enveloppe de 6 millions d'euros en 2018 pour renouveler son matériel à Douarnenez (Finistère). Elle annonce aussi le recrutement de 100 salariés supplémentaires principalement en CDI.


La conserverie Chancerelle installée à Douarnenez (Finistère) investira 6 millions d'euros en 2018 pour moderniser ses équipements et renforcer ses moyens industriels. Parallèlement, l'entreprise plus connue par sa principale marque Le Connétable, recrute. Elle a prévu, au cours des prochains mois, l'embauche de 100 salariés supplémentaires qui s'ajouteront aux 800 salariés actuels de l'entreprise dans le Finistère (elle est aussi implantée au Maroc où elle emploie plus de 1 000 personnes). Chancerelle réalise un chiffre d'affaires annuel de 145 millions d'euros et concentre désormais 10 % du marché de la conserve de sardines.
Pour conforter son rang, Chancerelle mise sur les innovations produits et la poursuite de son positionnement premium. Outre les sardines qui concentrent la majorité de ses productions, Chancerelle transforme des maquereaux mais aussi du foie de morue et du thon. La conserverie a mis en place une politique de RSE - Responsabilité sociale de l'entreprise - qui lui permet désormais de valoriser 90 % de ses déchets. Afin de garantir l'origine de ses matières premières, elle a développé une méthode de traçabilité des différents chalutiers qui l'approvisionnent en poissons frais. Les consommateurs peuvent ainsi connaître l'origine exacte des produits qu'ils achètent.