Les sardines Anny pour le président
Voici ce qu’on offre gratuitement aux Camerounais pour aller suivre une finale de la coupe du Cameroon .
Il faut à tout prix remplir le stade à fin d’applaudir l’arrivée du Dieu du Cameroon en lui faussant croire qu’il est le sauveur de la république. La parade militaire ferra son show également.
Voilà Comment on a réduit le peuple Camerounais à la mendicité.
Dites moi dans quel pays on offre Les pains sardines aux citoyens pour aller suivre une finale de coupe nationale ? Notre pays a touché le fond. Ceux et celles qui doutent n’ont encore rien compris.
André Rolain
Avec Benjamin Zebaze
Le noël des sardines en BD
« Les chasseurs d’écume » , ou la vie difficile des pêcheurs de Douarnenez (bande dessinée)
Une bande dessinée tirée du livre de Jean-Claude Boulard L'épopée de la sardine, avec de belles planches sur Douarnenez et la pêche à la sardine.
La bande dessinée Les chasseurs d’écume décrit la vie difficile des pêcheurs de Douarnenez au XXe siècle. Une série enracinée qui mérite d’être découverte.
Les
trois premiers tomes se déroulent avant la première guerre mondiale. La
sardine est le cœur de l’activité économique. Dans le tome 1, en 1901,
Jos Gloaguen âgé de seulement 12 ans embarque sur la chaloupe de son
père. Les hommes pêchent sur de frêles barques, tandis que leurs épouses
– les Penn Sardin- s’activent à la conserverie contre un salaire de
misère. Dans le tome 2, Jos Gloaguen participe à une révolte des
pêcheurs réprimée par la gendarmerie à cheval. Dans le troisième tome,
pendant la Première Guerre mondiale, Jos devient marin sur le cuirassé
Danton. Mais celui-ci est coulé par un sous-marin allemand. Jos est
ensuite affecté sur le cuirassé Mirabeau. A la fin de la guerre,
celui-ci se dirige vers Sébastopol, pour aider les Russes blancs luttant
contre la révolution bolchevique. C’est alors qu’éclatent les
Mutineries de la Mer noire. Mais, courageusement, Jos refuse de
participer à la grève des matelots favorables aux rouges… A son retour,
il épouse la belle Anna Coëdic… Le tome 4 décrit la situation des
pêcheurs de Douarnenez pendant les années 1920. En 1920, Jos Gloaguen et
Anna ont un garçon, qu’ils prénomment Fanch. Mais la vie des pêcheurs
est difficile. En 1924, les tensions sociales se crispent. Alors que la
sardine se fait attendre, les pêcheurs restés à quai exigent des patrons
des conserveries de meilleures conditions de travail. Des parisiens du «
Cartel des gauches », venus recruter pour un nouveau syndicat affranchi
du bolchévisme, incitent à la grève. En 1925, un accord est signé
entre les délégués des femmes travaillant dans les conserveries et les
industriels. Mais les pêcheurs de Douarnenez sont concurrencés par ceux
de St Jean de Luz, lesquels ne font pas grève… Ainsi se clôt le premier
cycle de cette série.…
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Agadir Haliopôle nage à contre-courant sur la sardine
Alerte rouge sur la sardine ! Alors que le Maroc répète que ses stocks
halieutiques ne sont pas menacés de surexploitation, le cluster Agadir Haliopôle
brise un tabou en affirmant l'inverse. Le pôle de compétitivité va
missionner un cabinet pour mener une étude sur la pérennité des
ressources halieutiques au large de la région Souss-Massa. L'association
porte les inquiétudes des industriels du secteur, indiquant dans son
appel d'offres qu'un "tarissement des sources d'approvisionnement à l'échelle locale n'est pas une simple hypothèse". Agadir Haliopôle veut donc se doter d'un plan d'actions pour inverser la tendance.
Placé sous l'autorité du wali de Souss-Massa Ahmed Hajji, Agadir Haliopôle est piloté par un connaisseur de la pêche, Mohamed Bouayad. Ce dernier dirige Sunrise International (mareyage), Marpex (conserverie de poisson) et l'antenne marocaine du bureau d'études français Cofrepêche, filiale de l'Ifremer (Institut français de recherche pour l'exploitation de la mer).
Le débat sur la surpêche fait rage : le 5 novembre, l'Institut national de recherche halieutique (INRH) du royaume est monté au créneau face au Conseil international pour l'exploration de la mer (CIEM). Ce dernier avait mis en garde, dans une étude, sur la "situation critique" des stocks de sardines marocaines.
Placé sous l'autorité du wali de Souss-Massa Ahmed Hajji, Agadir Haliopôle est piloté par un connaisseur de la pêche, Mohamed Bouayad. Ce dernier dirige Sunrise International (mareyage), Marpex (conserverie de poisson) et l'antenne marocaine du bureau d'études français Cofrepêche, filiale de l'Ifremer (Institut français de recherche pour l'exploitation de la mer).
Le débat sur la surpêche fait rage : le 5 novembre, l'Institut national de recherche halieutique (INRH) du royaume est monté au créneau face au Conseil international pour l'exploration de la mer (CIEM). Ce dernier avait mis en garde, dans une étude, sur la "situation critique" des stocks de sardines marocaines.
Reproduction à titre informatif et non commercial
Méditerranée : Le Maroc et l’Espagne à la rescousse de la sardine
Infomediaire Maroc – Une campagne scientifique axée sur la connectivité entre les différentes populations de sardine en Méditerranée a réuni récemment des chercheurs de l’Institut espagnol d’océanographie (IEO) et de l’Institut national de recherche halieutique (INRH).
L’objectif de cette campagne, baptisée “SARLINK” et réalisée dans les eaux marocaines, espagnoles et portugaises, est d’analyser les échantillons prélevés, à travers des études génétiques, pour déterminer le degré de connectivité entre les différentes populations formant le stock de sardines dans les eaux du sud de la péninsule ibérique et du nord du Maroc.
Rédaction Infomediaire.
Des chercheurs des deux instituts ont fait des prélèvements d’échantillons d’œufs, de larves et de spécimens adultes de sardines (Sardina pilchardus) dans la mer d’Alboran, le golfe de Cadix, ainsi que dans les eaux marocaines et du Portugal.
Un total de 10 chercheurs de l’INRH et de l’IEO ont participé à cette initiative «entreprise dans un temps réduit par rapport à son envergure».
À Amiens, les sardines remontent la Somme
Déjà connue pour son lapin géant de Pâques et sa Licorne de l’Amiens SC,
Géraldine Thibault a convaincu l’artiste Jean-Pierre David de
transformer Saint-Leu.
Cette installation va faire parler d’elle tant elle est spectaculaire. Une centaine de sardines géantes sont posées au dessus de l’eau du canal de la Somme au niveau du quai Bélu. Un effet visuel garanti. C’est l’œuvre de l’artiste de renommée internationale Jean-Pierre David.
Et c’est aussi celle de Géraldine Thibault, créatrice de l’agence Ajuste Sens. Cette Amiénoise, artiste de formation de 42 ans, a créé sa société spécialisée dans la communication et l’organisation d’événements. Et dès qu’elle le peut, elle s’inspire de ses connaissances en art. C’est ainsi qu’elle a lancé un lapin géant dans les rues du centre ville lors des fêtes de Pâques pour guider les badauds vers les commerces partenaires.
Elle a aussi planté des cœurs rouges place Gambetta pour la fête de
la Saint-Valentin. Elle a séduit les dirigeants de l’Amiens SC et son
public avec sa Licorne géante. Des œuvres à chaque fois soignées et loin
de la caricature. Dernier fait d’arme donc : des sardines à Saint-Leu.
Des spécimens faits de plastique glacé à l’aluminium gonflés à l’hélium
et lestés au fond de l’eau.
« La fédération des commerçants du centre ville cherchait un projet pour les 20 ans du marché de Noël. J’ai toujours ce réflexe de m’inspirer des artistes et de leurs travaux notamment en installation. Les œuvres posées s’inspirent de leur environnement. J’ai pensé à Jean-Pierre David. Il a fallu le convaincre. Ce qui n’a pas été simple. D’autant qu’il est toujours en mouvement. Il revenait notamment d’une exposition à Moscou et à Tokyo », raconte Géraldine Thibaut.
L’artiste ne disait pas non, tout comme il ne disait pas vraiment oui. « Trop d’algues, pas assez profond... Je l’ai convaincu de m’envoyer du matériel par la Poste pour tester moi-même les conditions. Je n’ai pas lâché puis il est venu sur place cet été », se souvient-elle.
Il restait la question du coût, là encore réduit par le travail de l’équipe de l’agence Ajuste Sens. Le coup de communication est en tous les cas réussi. Les réactions sont enthousiastes en cette période où les touristes sont nombreux à se balader à Saint-Leu, entre le marché de Noël et le spectacle d’illuminations de la cathédrale Chroma.
Il restait à faire vivre cette installation. « Elle va évoluer sur 15 jours sur le bras de la Somme. Nous allons la déplacer tous les quatre jours environ. De nouveaux bancs de poissons seront positionnés 20 mètres plus loin à chaque fois, puis ils partiront dans les différents canaux de Saint-Leu. L’idée est de dire qu’ils partent vers la mer », précise Géraldine Thibaut.
De quoi prévenir les fêtards de Saint-Leu qu’ils ne sont pas victimes d’hallucinations et les avertir qu’il est dangereux de tenter d’en décrocher un dans cette eau glacée.
Par David Vandevoorde |
Cette installation va faire parler d’elle tant elle est spectaculaire. Une centaine de sardines géantes sont posées au dessus de l’eau du canal de la Somme au niveau du quai Bélu. Un effet visuel garanti. C’est l’œuvre de l’artiste de renommée internationale Jean-Pierre David.
Et c’est aussi celle de Géraldine Thibault, créatrice de l’agence Ajuste Sens. Cette Amiénoise, artiste de formation de 42 ans, a créé sa société spécialisée dans la communication et l’organisation d’événements. Et dès qu’elle le peut, elle s’inspire de ses connaissances en art. C’est ainsi qu’elle a lancé un lapin géant dans les rues du centre ville lors des fêtes de Pâques pour guider les badauds vers les commerces partenaires.
Un projet pour les 20 ans du marché de Noël
« La fédération des commerçants du centre ville cherchait un projet pour les 20 ans du marché de Noël. J’ai toujours ce réflexe de m’inspirer des artistes et de leurs travaux notamment en installation. Les œuvres posées s’inspirent de leur environnement. J’ai pensé à Jean-Pierre David. Il a fallu le convaincre. Ce qui n’a pas été simple. D’autant qu’il est toujours en mouvement. Il revenait notamment d’une exposition à Moscou et à Tokyo », raconte Géraldine Thibaut.
L’artiste ne disait pas non, tout comme il ne disait pas vraiment oui. « Trop d’algues, pas assez profond... Je l’ai convaincu de m’envoyer du matériel par la Poste pour tester moi-même les conditions. Je n’ai pas lâché puis il est venu sur place cet été », se souvient-elle.
Il restait la question du coût, là encore réduit par le travail de l’équipe de l’agence Ajuste Sens. Le coup de communication est en tous les cas réussi. Les réactions sont enthousiastes en cette période où les touristes sont nombreux à se balader à Saint-Leu, entre le marché de Noël et le spectacle d’illuminations de la cathédrale Chroma.
Il restait à faire vivre cette installation. « Elle va évoluer sur 15 jours sur le bras de la Somme. Nous allons la déplacer tous les quatre jours environ. De nouveaux bancs de poissons seront positionnés 20 mètres plus loin à chaque fois, puis ils partiront dans les différents canaux de Saint-Leu. L’idée est de dire qu’ils partent vers la mer », précise Géraldine Thibaut.
De quoi prévenir les fêtards de Saint-Leu qu’ils ne sont pas victimes d’hallucinations et les avertir qu’il est dangereux de tenter d’en décrocher un dans cette eau glacée.
Par David Vandevoorde |
Les sardines contre le cholestérol : mieux que les statines !
Poissons gras anti-cholestérol : les sardines
Cela
paraît paradoxal et absolument illogique : les sardines, qui
appartiennent à la catégorie des "poissons gras", seraient en réalité
des aliments santé, qui permettraient de lutter contre le cholestérol ?
Cela s'explique tout simplement : il y a "gras" et "gras", lorsque l'on
parle des acides gras… Et certains sont primordiaux pour notre santé !
Les sardines : le poisson santé !
Les sardines sont en effet des poissons gras, mais cela n'empêche pas que les mots "sardines" et "santé" peuvent tout à fait rimer ! En effet, le "gras" qu'elles contiennent constitue des "acides gras insaturés", dont font partie les fameux omégas-3. L'organisme humain ne sachant pas les générer, ils doivent donc être apportés par le biais de l'alimentation. Ces acides gras insaturés sont essentiels pour une bonne santé, car ils assurent une protection contre les maladies cardio-vasculaires, comme le régime alimentaire des Inuits l'a prouvé dès les années 1970. Consommer des sardines, malgré leur réputation de "poissons gras", est donc une bonne manière de lutter contre le cholestérol, car 100 grammes de sardines à l'huile procurent jusqu'à 7,5 grammes d'acides gras insaturés.Des sardines pour combattre le cholestérol ?
Comment se fait-il que les acides gras insaturés des sardines puissent être des alliés anti-cholestérol (donc anti-gras !) pour l'organisme ? Tout bonnement parce que les acides gras omégas-3 font diminuer la quantité de graisses dans le sang. Les omégas-3 peuvent en effet réduire d'un quart à un tiers le taux de triglycérides dans le sang si on ingère quotidiennement de l'huile de poisson – comme les Inuits le font, on y revient ! De quoi se prémunir efficacement des AVC (accidents cardio-vasculaires)…in Medisite
Nouvelle usine algérienne à Skikda
L’usine, d’une capacité de production de 16 tonnes par jour, aura à
mettre en boîtes des miettes de thon et de sardines à raison de 250
boîtes par minute. «Le montage de l’usine est en cours, et selon son
patron, un natif de Skikda, elle devrait produire ses premières boîtes
au cours du second semestre de l’année prochaine», ajoute le DPRH. Cet
acquis va générer 220 postes d’emploi permanents et viendra réconforter
le tissu industriel sectoriel de l’est du pays qui a été nettement
affecté après la dissolution des deux unités de transformation qui
existaient à Collo et Jijel. Cette nouvelle usine n’est cependant pas
l’unique acquis dans la wilaya de Skikda. Selon le DPRH, le programme
d’investissement sectoriel comprend également huit projets d’élevage de
loups de mer et de dorades dans des cages flottantes.
Pêcheurs et chercheurs travaillent ensemble, et s'intéressent à la sardine
Les
pêcheurs français et les chercheurs de l'Ifremer viennent de
renouveller un partenariat de 4 ans, pour travailler ensemble sur la
préservation des ressources. Ces dernières années, ils avaient découvert
ensemble les raisons de la baisse de la taille et du nombre des
sardines.
"Il s'agit de mieux connaître l'état de la ressource, anticiper et prendre les bonnes décisions pour les quotas de capture", a résumé Gérard Romiti, président du comité national des pêches, signataire de cet accord-cadre avec l'association France Filière Pêche et l'Ifremer.
82 projets menés à bien
Durant les quatre premières années de ce partenariat, 82 projets ont été menés, pour 24 millions d'euros, dont 13 millions avancés par France Filière pêche, a rappelé Gérard Higuinen, président de France filière pêche, chargé notamment de promouvoir les produits de la pêche française."Il y a deux types de recherche: la connaissance des espèces et l'environnement, pour les deux tiers, et la sélectivité et les techniques de pêche, pour un tiers", a-t-il précisé.
Le problème pour la sardine : le phytoplancton
Parmi les projets menés ces dernières années, l'Ifremer et les pêcheurs se sont ainsi intéressés à la sardine de Méditerranée, dont "les débarquements ont fondu et la taille moyenne des poissons a également fondu", a indiqué François Jacq, président l'Ifremer.Après avoir étudié et écarté de nombreuses hypothèses, parmi lesquels la surpêche, la voracité du thon rouge ou la présence de bactéries, l'Ifremer a finalement pu établir qu'il s'agissait d'un problème de nourriture, le phytoplancton étant "soit moins nourrissant, soit moins abondant".
Ce partenariat a également permis de procéder à des expériences permettant de réduire les rejets en mer "d'espèces soit non désirées, soit non commercialisables", selon Youen Vermard, président de l'association française d'halieutique et cadre de recherche à l'Ifremer.
"On arrive sur certaines espèces à plus de 50% de diminution des rejets", indique Youen Vermard.
Par Ghislaine Milliet avec AFP
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Les sardines en boîtes vont-elles coûter plus cher ?
La baisse des quotas de pêche et la raréfaction de certaines espèces de
poissons vont sans doute entraîner une hausse des prix de vente. Les
poissons en boîte deviendront-ils un produit de luxe ?
Les consommateurs ne réalisent pas toujours, en ouvrant une boîte de sardines, que ce produit deviendra peut-être bientôt un mets de luxe. Les prix des conserves de poissons vont-ils flamber ?
Car les volumes de poissons vendus en boîte – comme la sardine, le thon et le maquereau – ont considérablement chuté depuis deux ans. En 2016, le quota de vente de sardines pour le Portugal était de 11.500 tonnes : c’est 10 % de moins qu’en 2015. De même, les prises de thon albacore ont réduit de 15 % en 2017 par rapport à 2015.
« Nous avions demandé 15 % d’augmentation en 2016, nous avions obtenu quelques pourcents de plus. Nous demandons de nouveau 15 % de hausse de tarif », explique Amaury Dutreil, directeur général de Petit Navire, filiale du groupe thaïlandais Thaï Union avant d’expliquer que « Le thon albacore, le plus consommé en France, se négocie à un niveau historique à 2.600 euros la tonne contre 1.600 euros fin 2015. »
Les producteurs sont conscients de l’attente éthique des consommateurs en matière de pêche et souhaitent mettre en avant leurs pratiques durables et respectueuses de l’environnement grâce à la certification MSC (Marine Stewardship Council). Ils souhaitent participer à la protection des espèces marines dont les effectifs se raréfient depuis quelques années. Il n’y aura sans doute pas de pénurie pour autant dans les rayons des supermarchés, mais il faut donc s’attendre à une possible hausse des prix des boîtes de conserve.
in Consoglobe.com
Les consommateurs ne réalisent pas toujours, en ouvrant une boîte de sardines, que ce produit deviendra peut-être bientôt un mets de luxe. Les prix des conserves de poissons vont-ils flamber ?
Sardines, maquereaux, thons en conserve… vers une flambée des prix ?
Les producteurs de boîtes de conserve vont bientôt renégocier le prix de vente auprès des magasins de la grande distribution. Il se pourrait que cette année, ils réclament une hausse de 15 % aux distributeurs, et ce pour des raisons simples : les quotas de pêche sont plus stricts. S’il y a moins de poissons disponibles, les prix pourraient flamber.
Car les volumes de poissons vendus en boîte – comme la sardine, le thon et le maquereau – ont considérablement chuté depuis deux ans. En 2016, le quota de vente de sardines pour le Portugal était de 11.500 tonnes : c’est 10 % de moins qu’en 2015. De même, les prises de thon albacore ont réduit de 15 % en 2017 par rapport à 2015.
« Nous avions demandé 15 % d’augmentation en 2016, nous avions obtenu quelques pourcents de plus. Nous demandons de nouveau 15 % de hausse de tarif », explique Amaury Dutreil, directeur général de Petit Navire, filiale du groupe thaïlandais Thaï Union avant d’expliquer que « Le thon albacore, le plus consommé en France, se négocie à un niveau historique à 2.600 euros la tonne contre 1.600 euros fin 2015. »
Les producteurs sont conscients de l’attente éthique des consommateurs en matière de pêche et souhaitent mettre en avant leurs pratiques durables et respectueuses de l’environnement grâce à la certification MSC (Marine Stewardship Council). Ils souhaitent participer à la protection des espèces marines dont les effectifs se raréfient depuis quelques années. Il n’y aura sans doute pas de pénurie pour autant dans les rayons des supermarchés, mais il faut donc s’attendre à une possible hausse des prix des boîtes de conserve.
in Consoglobe.com
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conserverie sardine
Ouf ! La menace est écartée !
les experts rassurent
L’Institut National de Recherche Halieutique a réagi à un récent rapport indiquant que le stock de sardines dans les eaux avoisinant le Maroc est actuellement en dessous de la limite de la biomasse.
Par
H24info Les sardines pour maigrir
Selon le Dr Saldmann les sardines sont un excellent aliment quand on cherche à maigrir. Il faut en effet plus de 9 heures pour que l'estomac les digère, retardant d'autant une nouvelle sensation de faim.
Menaces sur les sardines
Le stock de sardines en méditerranée menacé
Le Centre international pour l’exploration de la mer a attiré l’attention de l’UE sur le stock de sardine dans la mer méditerranéenne et de l’océan Atlantique qui est actuellement en dessous de la limite de la biomasse.
A retrouver ici
La collection de Pierre Tchernia vendue aux enchères
La collection de boîtes de sardines de Pierre Tchernia a été vendue aux enchères à Drouot pour la modique somme de 1600 €…
On peut espérer que Michel-Edouard Leclerc en soit l'heureux acquéreur, lui qui sait si bien associer, comme Magic Tchernia, bande dessinée et boîte de sardines…
Et je suis par ailleurs très heureux de constater que le mot "puxisardinophilie" est définitivement entré dans le dictionnaire d'usage. Quelle fierté pour son modeste inventeur !
On peut espérer que Michel-Edouard Leclerc en soit l'heureux acquéreur, lui qui sait si bien associer, comme Magic Tchernia, bande dessinée et boîte de sardines…
Et je suis par ailleurs très heureux de constater que le mot "puxisardinophilie" est définitivement entré dans le dictionnaire d'usage. Quelle fierté pour son modeste inventeur !
L'énigme de la sardine contaminée enfin levée
Algérie : Sardine contaminée, un parasite identifié sans danger sur la santé humaine
L’énigme de la sardine contaminée présentant des petites boules
blanchâtres en forme de petits œufs et commercialisée ces dernières
semaines, vient d’être levée par l’équipe du laboratoire de recherche en
physiologie animale de la faculté des sciences de la nature et de la
vie à l’université Abderrahmane Mira de Béjaïa.
A retrouver sur EL WATAN
A retrouver sur EL WATAN
Les sardines russes sont marocaines
in Infomediaire Maroc
– Les échanges commerciaux maroco-russes font ressortir que les exportations marocaines globales à destination de la Russie sont constituées à 97% de produits agro-alimentaires.
La Russie représente ainsi près de 18% de la valeur totale des exportations agro-alimentaires du Maroc pour atteindre 1,8 milliard de dirhams en 2016. Le Maroc a exporté vers la Russie en 2016 un total de 351 000 tonnes de produits agro-alimentaires, se positionnant ainsi comme 1er fournisseur du marché russe en tomate et 2ème fournisseur en petits fruits d’agrumes.
Capitaine Cook
Quelque six millions de boîtes de sardines à l'huile sortent tous les ans de l'usine Capitaine Cook de Plozévet (29). Des sardines haut de gamme, travaillées à l'ancienne et qui valent au site bigouden d'être labellisé «Entreprise du Patrimoine Vivant».
A voir dans le Télégramme
Championnat du monde de lancer de sardines
On le pratique avec une grille de barbecue faisant office de raquette. Y maintenir la sardine n'est déjà pas une mince affaire… Ça se passe à Doëlan en Bretagne et les mouettes s'y régalent aussi
A retrouver sur Ouest-France ici
A retrouver sur Ouest-France ici
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Pluie de sardines au Honduras
Every Year, the Sky ‘Rains Fish.’ Explanations Vary.
By KIRK SEMPLE
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YORO,
Honduras — Things don’t come easy in La Unión, a small community on the
periphery of Yoro, a farming town in north-central Honduras.
Poverty
is universal, jobs are scarce, large families are crammed into
mud-brick homes and meals often are constituted of little more than the
subsistence crops residents grow — mainly corn and beans.
But every once in a while an amazing thing happens, something that makes the residents of La Unión feel pretty special.
The skies, they say, rain fish.
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pluie de sardines
Sardines corses : elles approchent de la Sardaigne…
Gastronomie : "Regina di mare" met en boite les sardines avec des produits "nustrali"
Rédigé par Philippe Jammes le Samedi 15 Juillet 2017 à 18:40 | Modifié le Samedi 15 Juillet 2017 - 18:47
Depuis début juillet, la société « Regina di mare » propose à la vente dans les supermarchés et épiceries locales, des sardines en boites « recette corse », composées d’ingrédients soigneusement sélectionnés auprès d’artisans et producteurs de l’île : sardines au cédrat du Cap Corse, sardines à la nepita, sardines aux herbes du maquis et sardines au pastis Dami.
"Regina di mare" a présenté ses sardines "recette corse"
Elaborées avec le plus grand soin ces sardines (origine
Méditerranée ou Atlantique nord) offrent nouveauté et originalité.
Ces 4 premières recettes ensoleillées dues à Philippe Ré, fin cuisinier (entre autre !), feront assurément le bonheur des gourmets.
Pour Philippe Ré, créateur de la société Regina di Mare, « un bon produit est le résultat d’une alchimie originale, qui combine à la fois les vertus de son lieu d’origine et ses conditions de fabrication. Grâce à son terroir si particulier et au savoir-faire ancestral de ses producteurs, la Corse a su révéler des produits de qualité ».
Il nous rappelle tout cela dans notre vidéo.
Ces 4 premières recettes ensoleillées dues à Philippe Ré, fin cuisinier (entre autre !), feront assurément le bonheur des gourmets.
Pour Philippe Ré, créateur de la société Regina di Mare, « un bon produit est le résultat d’une alchimie originale, qui combine à la fois les vertus de son lieu d’origine et ses conditions de fabrication. Grâce à son terroir si particulier et au savoir-faire ancestral de ses producteurs, la Corse a su révéler des produits de qualité ».
Il nous rappelle tout cela dans notre vidéo.
Sardines de l'été
Chaque jeudi, passage en cuisine et réveil des papilles. Aujourd'hui, on enfourche une Kawasaki mythique pour aller se régaler de sardines.
Photo animée par Emmanuel Pierrot
On devrait toujours dîner léger le soir. Quoique…Ainsi l’autre jour, on a englouti grave et on a fait un rêve barré, vraiment barré de chez barré. La bectance d’abord, une traversée au bout de la nuit sans phare, ni sonar. Imaginez la baie d’Hyères, un soir d’été sur un radeau avec trois aminches, ogre causeur rabelaisien, punk balzacien et aigle royal scrutant la planète bouffe. On navigue à vue entre les mots et les mets, entre les mojettes en embuscade sous la poutargue et les sardines confites. Les quilles sont des mortiers de bonheur.
Sardines à St jean-de-Luz
Saint-Jean-de-Luz va fêter la sardine
Publié le par François Camps.
La météo s’annonce des plus clémentes pour la Nuit de la sardine, ce samedi. Une aubaine pour le club luzien de l’Arin, organisateur de la fête
Samedi 15 juillet, à partir de 19h30, les sardines
seront à l’honneur au Campos Berri, à côté du jai-alai, à
Saint-Jean-de-Luz. Le club de football de l’Arin attend près de 1 300 personnes
pour sa traditionnelle Fête de la sardine et propose pour l’occasion
une série de grillades. Outre les sardines et le thon à la plancha,
accompagnés de piperade, des saucisses, de la ventrèche, des frites et
du gâteau basque seront à la carte.
La sardine est à Lorient
mardi 11 juillet 2017 in keroman.fr
Il s’appelle Berceau de l’Océan. Un bolincheur de 15m basé à Concarneau. La semaine dernière, ce fut le premier navire à pointer le bout de son étrave devant le port de Lorient Keroman. « Le lendemain, il y en avait deux, puis cinq, puis dix, et maintenant on en annonce quinze pour le début de la semaine ! », raconte François Cuvilly, responsable halieutique du port. Venus pour la plupart de Concarneau ou du Guilvinec, les bolincheurs traquent actuellement la sardine, qu’ils viennent ensuite vendre à la criée de Lorient. « Les zones de pêche se situent en ce moment au large de Belle-Île et de Groix. C’est plus simple pour eux de débarquer ici. Ca leur fait moins de route que de rentrer dans leur port d’attache. Et puis Lorient est un port accueillant, qui leur offre tous les services nécessaires », poursuit François Cuvilly. A commencer par de la glace, dont les bolincheurs sont très friands. Une fois débarqué, le poisson est stocké dans des containers de 600 litres qu’on remplit de glace et d’eau de mer. « Ca permet de garder la sardine bien raide, en bon état de conservation avant la vente à la criée ».
LA SARDINE DÉBARQUE EN FORCE !
Depuis une semaine, le port de Lorient Keroman vit au rythme des débarquements de sardines. Une quinzaine de bolincheurs finistériens y vendent chaque jour leurs captures. Plus de 350 tonnes ont déjà été commercialisées. La saison est lancée !Il s’appelle Berceau de l’Océan. Un bolincheur de 15m basé à Concarneau. La semaine dernière, ce fut le premier navire à pointer le bout de son étrave devant le port de Lorient Keroman. « Le lendemain, il y en avait deux, puis cinq, puis dix, et maintenant on en annonce quinze pour le début de la semaine ! », raconte François Cuvilly, responsable halieutique du port. Venus pour la plupart de Concarneau ou du Guilvinec, les bolincheurs traquent actuellement la sardine, qu’ils viennent ensuite vendre à la criée de Lorient. « Les zones de pêche se situent en ce moment au large de Belle-Île et de Groix. C’est plus simple pour eux de débarquer ici. Ca leur fait moins de route que de rentrer dans leur port d’attache. Et puis Lorient est un port accueillant, qui leur offre tous les services nécessaires », poursuit François Cuvilly. A commencer par de la glace, dont les bolincheurs sont très friands. Une fois débarqué, le poisson est stocké dans des containers de 600 litres qu’on remplit de glace et d’eau de mer. « Ca permet de garder la sardine bien raide, en bon état de conservation avant la vente à la criée ».
70 centimes le kilo
Les clients sont la plupart du temps des mareyeurs ou des conserveries. Certains alimentent le marché du frais et proposent des sardines en filet, comme Coeffic Marée qui s’en est fait une véritable spécialité. « Les prix oscillent entre 0,60 et 0,70€ le kilo. On est en plein dans la saison. C’est bon pour le consommateur », commente François Cuvilly. Les bolincheurs quittent généralement les quais en fin d’après-midi pour se rendre sur les zones de pêche. Ils commencent à mettre à l’eau les filets au coucher du soleil. Certains sont de retour dès 2 heures du matin. Pour la seule semaine dernière, 360 tonnes de sardines ont été débarquées à Lorient Keroman. Un chiffre en très large augmentation par rapport à 2016. « On avait fait alors à peine quelques centaines de tonnes », se souvient le responsable. Comme pour toutes les autres espèces, la pêche à la sardine n’est pas une science exacte. Et repose souvent sur les aléas de la météo. Les débarquements à Lorient pourraient bien durer tout l’été. Ou s’arrêter du jour au lendemain si les bancs décident soudain de remonter vers la mer celtique. En attendant, les services du port de Keroman s’activent tous les jours pour fournir aux équipages la glace et le nombre de containers suffisants pour assurer les ventes dans les meilleures conditions possibles. Une réactivité essentielle pour le premier port français. Et un bon échauffement avant la saison de l’anchois attendue, elle, pour début septembre.Gâvres 2017
2 500 boîtes de sardines à l’effigie de la presqu’île sont en vente dans les commerces depuis ce week-end. Une exclusivité gâvraise sur une idée originale de Pascal Orvoen, pour fêter les 150 ans de la commune.
La jolie et préservée commune de Gâvres fête ses 150 ans cette année. 2 500 boîtes de sardines à l’effigie de la presqu’île sont en vente dans les commerces depuis ce week-end. Une exclusivité gâvraise sur une idée originale de Pascal Orvoen, pour marquer les 150 ans de la commune.
Ancien port sardinier
Un clin d’œil à cet ancien port sardinier. « C’est un rappel de la pêche et de la conserverie qui ont fait vivre des centaines de familles au siècle dernier », explique le maire, Dominique Le Vouédec.
Des sardines millésimées, préparées à l'ancienne et mises en boîte à la main, comme avant. « C'est un savoir-faire de la célèbre conserverie la Quiberonnaise », rappelle Pascal qui a suivi de près toutes les étapes de leur conditionnement jusqu’à leur réception vendredi.
Des sardines de garde...
Des sardines ultra fraiches, fermes et argentées « triées , préparées et mises en boîte le 21 juin dernier ». Sous le couvercle, « 5 à 6 sardines : le top ! »
Mais pour les déguster, il faudra encore patienter. « Elles sont trop fraîches. L’idéal serait d’attendre le 15 août. »Des boîtes collectors qui devraient s’écouler comme des petits pains. Dans tous les commerces du village, sur le marché du jeudi, lors des fêtes cet été…
Sardines portugaises à l'export
Les entreprises portugaises ont
solidifié, et surtout diversifié leurs exportations. " Cela nous a aidés à surmonter la crise de 2008 ",
illustre Rodrigo Faustino de Souza, la petite vingtaine. Sa famille possède la
conserverie Portugal Norte, à Matosinhos, une petite ville du nord du pays, où
l'industrie de la sardine était florissante après guerre. Dans les années 2000,
elle développe une marque haut de gamme et lance des recettes audacieuses pour
séduire de nouveaux palais. Comme les sardines à la sauce japonaise -teriyaki, qui s'arrachent désormais à
Macao, Hongkong et Montréal. " Lors
de la crise de 2008, la hausse de nos ventes en Angola a -compensé la baisse de
celles vers l'Europe ", explique le jeune homme. Maintenant que l'Angola
va mal, l'Asie prend le relais : "
C'est rassurant. Mais cela signifie que nous ne devons jamais nous endormir sur
nos lauriers. "
in Le Monde du 2 juillet 2017
Sardines du Rif
Maroc - Rif: À al-Hoceima, le grand dauphin "negro" est "l'ennemi" des pêcheurs
Les pêcheurs à la sardine au port de pêche d'Al Hoceima dépriment à cause disent-ils du grand dauphin dit le Negro, nom que les espagnols lui donnent en raison de sa robe d’un gris foncé, allant vers le noir.
"Depuis toujours à Al-Hoceïma, l’économie c’est la pêche'', explique Saïd Shaib, 44 ans, patron d'un sardinier, selon lequel les pêcheurs de la région cohabitaient avec le dauphin.
''Mais à partir de 2010, les attaques du negro ont explosé. Quand il attaque, il ne nous reste parfois que 10 à 20 caisses de sardines, avec à chaque fois de gros dégâts dans les filets. Réparer les trous, le filet immobilisé, le carburant dépensé… la facture monte vite'', raconte Saïd à un journaliste du site ''La Lettre.ma''.
''Il y a un problème avec ce dauphin, la pêche a beaucoup souffert'' dans cette partie de la Méditerranée'', estiment les autorités de la région.Parmi les espèces de dauphin, qui vivent dans la mer d’Alboran, le grand dauphin ''Tursiops truncatus''peut atteindre 4 mètres et plus de 400 kilos
''Sa taille lui donne une grande force pour déchirer les filets. Cet animal est très intelligent. Il attaque pour se nourrir. Mais peut-être aussi pour libérer les sardines'', explique un spécialiste de la faune locale. Saïd ajoute : ''il nous voit arriver, sait exactement quand et comment attaquer le filet.''
Faut-il tuer le Négro ?
Depuis 2011, les prises à Al-Hoceïma ont baissé de moitié, passant de 8.972 tonnes à 4.576 tonnes par an. A elle seule, la sardine représente 210.680 T, avec une part de 60% du total des captures du Maroc au 1er semestre 2016, et 42% du 1,6 milliard de DH de chiffre d'affaires à la même période.
La suite ici
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#puxisardinophile
A retrouver entre amis sur Twitter le hashtag des connaisseurs ! #puxisardinophile
Un des mots les plus bizarres de la langue française, inventé un jour pour donner à la boite de sardine un costume de Cendrillon. Une paternité dont je suis fier ! Inventer un mot utile, c'est une joie !
C'est lui maintenant qu'on utilise pour désigner les collectionneurs de boîtes de sardines qui ont cependant existé bien avant son invention. Il faut maintenant mener campagne pour que le mot entre au dictionnaire… Merci Le Monde, merci les gens !
La racine puxi qui surprend et égare celui qui la lit pour la première fois serait à l'origine du mot boîte, élégante déformation des boètes antiques et des boxes angloises; elle a aussi donné naissance aux puxides pharmaceutiques, ancêtres des boîtes à pilules et bien sûr à la pyxide utilisée dans la liturgie catholique pour y conserver les hosties consacrées.
Ce qui fait la boîte, ce qui la définit ?
C'est le dessin qu'elle permet sur ses faces et la promesse illustrée de ce qu'elle conserve…
La sardine n'a jamais caché ni ses élans mystiques ni son goût pour l'ésotérisme. Elle se plaît à fréquenter les plus hautes autorités spirituelles et à s'introduire au cœur des symboles les plus sacrés.
Drôle de sardine !
A retrouver sur le blog de Guillaume Long : A boire et a manger
Un des mots les plus bizarres de la langue française, inventé un jour pour donner à la boite de sardine un costume de Cendrillon. Une paternité dont je suis fier ! Inventer un mot utile, c'est une joie !
C'est lui maintenant qu'on utilise pour désigner les collectionneurs de boîtes de sardines qui ont cependant existé bien avant son invention. Il faut maintenant mener campagne pour que le mot entre au dictionnaire… Merci Le Monde, merci les gens !
La racine puxi qui surprend et égare celui qui la lit pour la première fois serait à l'origine du mot boîte, élégante déformation des boètes antiques et des boxes angloises; elle a aussi donné naissance aux puxides pharmaceutiques, ancêtres des boîtes à pilules et bien sûr à la pyxide utilisée dans la liturgie catholique pour y conserver les hosties consacrées.
Ce qui fait la boîte, ce qui la définit ?
C'est le dessin qu'elle permet sur ses faces et la promesse illustrée de ce qu'elle conserve…
La sardine n'a jamais caché ni ses élans mystiques ni son goût pour l'ésotérisme. Elle se plaît à fréquenter les plus hautes autorités spirituelles et à s'introduire au cœur des symboles les plus sacrés.
Drôle de sardine !
A retrouver sur le blog de Guillaume Long : A boire et a manger
Les sardines du ramadan au Maroc
Le prix de la sardine flambe
Par Mouna Qacimi le 04/06/2017 à 23h06
La grève de la "sardine" née d'un conflit entre patrons (armateurs et industriels)
Kiosque360. Le kilo de sardines est négocié entre 20
et 25 dirhams, au cours de ce mois de ramadan. Une situation due,
notamment, à la multiplication des intervenants dans la chaîne de
commercialisation.
Le ramadan est souvent
synonyme de flambée des prix. Cette fois-ci, c’est la sardine qui est
concernée. Le prix d’un kilo de sardines varie ainsi entre 15 et 20
dirhams auprès du poissonnier ambulant ou dans les marchés des quartiers
populaires, rapporte L’Économiste dans son édition de ce lundi 5 juin.
Et d'ajouter que le prix du kilo de sardines peut atteindre jusqu’à 30
dirhams dans les quartiers huppés. Résultat, la sardine devient plus
chère que le poulet vif qui, lui, est négocié entre 12,50 et 14 dirhams,
voire moins.
L’Economiste souligne que les prix de la première vente, dans les halles du port de Casablanca ou d’Agadir, sont sans commune mesure avec ceux des marchés au détail. C’est ainsi qu’à Casablanca, au premier juin, le prix moyen de la sardine s’établissait à 3,2 DH/kg et celui du maquereau à 3,5 DH/kg. A Agadir, les prix sont encore nettement inférieurs à ceux pratiqués dans la capitale économique. Le prix moyen de la sardine y est ainsi en-dessous de 2 DH/kg.
Le journal explique que ces dysfonctionnements résident dans la multiplication des transactions. Entre le pêcheur et le consommateur, il faut compter au moins une dizaine d’intervenants, avec à la clé la spirale des marges prélevées lors de chaque vente. Un lot peut faire l’objet de plusieurs ventes avant même de quitter la halle aux poissons du port.
L’Économiste relève que la flambée des prix est en parfait décalage avec la production qui, elle, s’est inscrite en forte hausse ces dernières années. Elle a, en effet, gagné 20% en 2015 par rapport à l’année précédente et s’est appréciée de 7% en 2016 à 1,3 million de tonnes.
L’Economiste souligne que les prix de la première vente, dans les halles du port de Casablanca ou d’Agadir, sont sans commune mesure avec ceux des marchés au détail. C’est ainsi qu’à Casablanca, au premier juin, le prix moyen de la sardine s’établissait à 3,2 DH/kg et celui du maquereau à 3,5 DH/kg. A Agadir, les prix sont encore nettement inférieurs à ceux pratiqués dans la capitale économique. Le prix moyen de la sardine y est ainsi en-dessous de 2 DH/kg.
Le journal explique que ces dysfonctionnements résident dans la multiplication des transactions. Entre le pêcheur et le consommateur, il faut compter au moins une dizaine d’intervenants, avec à la clé la spirale des marges prélevées lors de chaque vente. Un lot peut faire l’objet de plusieurs ventes avant même de quitter la halle aux poissons du port.
L’Économiste relève que la flambée des prix est en parfait décalage avec la production qui, elle, s’est inscrite en forte hausse ces dernières années. Elle a, en effet, gagné 20% en 2015 par rapport à l’année précédente et s’est appréciée de 7% en 2016 à 1,3 million de tonnes.
Par Mouna Qacimi
La Sardine postale
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