La sardine de Tunisie se porte bien
Quatre chalutiers des ports de Téboulba,
Mahdia, Chebba et Zarzis lauréats du prix de la qualité 2014
Vendredi 28 Novembre 2014
© babnet.net
Quatre chalutiers des ports de Téboulba, Mahdia, Chebba et Zarzis spécialisés dans la pêche du
poisson bleu, sur un total de 28 embarcations en compétition, ont gagné le prix de la qualité 2014 dont la valeur est de 10 mille dinars pour chaque lauréat, contre 5000 dinars, depuis l'instauration de ce prix en 2012, par le Groupement interprofessionnel des produits de la pêche (GIPP).
Le chalutier du port de pêche de Téboulba (Gouvernorat de Monastir) est affrété par Mohsen Ben Salah qui a reçu, jeudi, son prix remis par le gouverneur de la région, Taïeb Nefzi, qui a honoré, en outre, les membres de l'équipage, au siège du gouvernorat.
Les trois autres prix reviennent à Mohamed El Ghoul et Mohamed Hamza (Port de pêche de Mahdia), à Mohamed Nejib, Noureddine, Samir, Ahmed et Abdallah Ben Mansour (Port de pêche de Chebba dans le gouvernorat de Mahdia) et à Abdallah, Mohamed Ali et Mokhtar Hammali (Port de pêche de Zarzis dans le gouvernorat de Médenine).
A ce propos, Naoufel Haddad, directeur général du GIPP a indiqué, dans une déclaration de presse
que le prix a été instauré pour inciter les affréteurs et les unités de pêche du poisson bleu à utiliser de la meilleure manière la glace, à bord des chalutiers, en vue de la préservation d'un produit de haute
qualité, à l'arrivée aux ports.
Il a expliqué que ce prix concerne six ports de pêches qui sont ceux de Kélibia (Gouvernorat de
Nabeul), de Téboulba, de Mahdia, de Chebba, de Zarzis et de Gabés, soulignant que le poisson bleu a une grande importance économique et sociale, dans le pays, surtout que ce domaine fournit 5500 postes d'emploi directs, soit 10 pc de la main-d'oeuvre directe travaillant dans le secteur de la pêche, en plus de 2500 emplois indirects dans les domaines de la commercialisation et de la transformation.
La production annuelle de poisson bleu est d'environ 51 mille tonnes dont 70 pc de sardines, avec 360
unités de pêche dont 80 modernes, avec 18 unités de transformation et de conservation des sardines et
du thon.
D'autre part, le directeur général du GIPP a souligné que le secteur des poissons bleus garantit environ 30 millions de dinars de devises, avec l'exportation de 5500 tonnes de conserves de sardines, en
particulier vers les marchés africains.
Mahdia, Chebba et Zarzis lauréats du prix de la qualité 2014
Vendredi 28 Novembre 2014
©Babnet Tunisie |
© babnet.net
Quatre chalutiers des ports de Téboulba, Mahdia, Chebba et Zarzis spécialisés dans la pêche du
poisson bleu, sur un total de 28 embarcations en compétition, ont gagné le prix de la qualité 2014 dont la valeur est de 10 mille dinars pour chaque lauréat, contre 5000 dinars, depuis l'instauration de ce prix en 2012, par le Groupement interprofessionnel des produits de la pêche (GIPP).
Le chalutier du port de pêche de Téboulba (Gouvernorat de Monastir) est affrété par Mohsen Ben Salah qui a reçu, jeudi, son prix remis par le gouverneur de la région, Taïeb Nefzi, qui a honoré, en outre, les membres de l'équipage, au siège du gouvernorat.
Les trois autres prix reviennent à Mohamed El Ghoul et Mohamed Hamza (Port de pêche de Mahdia), à Mohamed Nejib, Noureddine, Samir, Ahmed et Abdallah Ben Mansour (Port de pêche de Chebba dans le gouvernorat de Mahdia) et à Abdallah, Mohamed Ali et Mokhtar Hammali (Port de pêche de Zarzis dans le gouvernorat de Médenine).
A ce propos, Naoufel Haddad, directeur général du GIPP a indiqué, dans une déclaration de presse
que le prix a été instauré pour inciter les affréteurs et les unités de pêche du poisson bleu à utiliser de la meilleure manière la glace, à bord des chalutiers, en vue de la préservation d'un produit de haute
qualité, à l'arrivée aux ports.
Il a expliqué que ce prix concerne six ports de pêches qui sont ceux de Kélibia (Gouvernorat de
Nabeul), de Téboulba, de Mahdia, de Chebba, de Zarzis et de Gabés, soulignant que le poisson bleu a une grande importance économique et sociale, dans le pays, surtout que ce domaine fournit 5500 postes d'emploi directs, soit 10 pc de la main-d'oeuvre directe travaillant dans le secteur de la pêche, en plus de 2500 emplois indirects dans les domaines de la commercialisation et de la transformation.
La production annuelle de poisson bleu est d'environ 51 mille tonnes dont 70 pc de sardines, avec 360
unités de pêche dont 80 modernes, avec 18 unités de transformation et de conservation des sardines et
du thon.
D'autre part, le directeur général du GIPP a souligné que le secteur des poissons bleus garantit environ 30 millions de dinars de devises, avec l'exportation de 5500 tonnes de conserves de sardines, en
particulier vers les marchés africains.
Les sardines de Méditerranée sont-elles malades ?
Sardines et anchois : l'Ifremer tente de comprendre la raréfaction en Méditerrannée
L'institut de recherche marine Ifremer tente de comprendre pourquoi les prises de sardines et d'anchois d'une taille commercialisable sont devenues extrêmement rares dans le golfe du Lion ces dernières années. "La production a énormément diminué pour les deux espèces. En fait, il y a beaucoup de poissons mais ils ne grandissent pas. (...) C'est un problème assez inhabituel pour la communauté scientifique", a expliqué jeudi Claire Saraux, responsable d'un programme de recherche sur le sujet à l'Ifremer de Sète, lors d'une table ronde sur la pêche à Paris.
En 2014, les prises de sardines et d'anchois des pêcheurs de Sète, n'ont atteint qu'environ 200 tonnes, contre 4 à 5.000 tonnes en 2007-2009, a précisé Bertrand Wendling, directeur de leur coopérative. Surtout, les sardines sont bien trop petites pour être commercialisées: il en faut désormais 45 à 60 pour faire un kilo contre seulement une trentaine auparavant, selon lui. Selon les premiers résultats de l'étude, "il y a très peu de chances pour que la prédation du thon rouge soit en cause", estime Mme Saraux. L'hypothèse avait été au départ avancée par les pêcheurs face au retour du prédateur à la faveur de stricts quotas de pêche. Mais l'analyse de leurs estomacs a montré qu'ils ne se nourrissaient que de petites sardines, et non pas des grosses qui ont disparu, a expliqué la scientifique.
L'Ifremer étudie donc d'autres hypothèses: une modification du plancton dont se nourrissent les sardines, peut-être en faveur d'espèces moins énergétiques qui les font moins grossir. Ou bien la présence de bactéries ou de virus. "Il est habituel d'avoir des variations sur les stocks de pélagiques mais c'est souvent dû à des problèmes de mortalité larvaire", ce qui n'est pas le cas aujourd'hui, précise Mme Saraux.
Face à l'effondrement des prises, les pêcheurs ont dû se réorienter vers des espèces de grands fonds (loups, daurades). A Sète, le nombre de chalutiers est passé de 30 à 14 entre 2007 et 2014, selon M. Wendling. Un seul chalutier continue à pêcher le "poisson bleu". L’Indépendant Vendredi 21 Novembre 2014
L'institut de recherche marine Ifremer tente de comprendre pourquoi les prises de sardines et d'anchois d'une taille commercialisable sont devenues extrêmement rares dans le golfe du Lion ces dernières années. "La production a énormément diminué pour les deux espèces. En fait, il y a beaucoup de poissons mais ils ne grandissent pas. (...) C'est un problème assez inhabituel pour la communauté scientifique", a expliqué jeudi Claire Saraux, responsable d'un programme de recherche sur le sujet à l'Ifremer de Sète, lors d'une table ronde sur la pêche à Paris.
En 2014, les prises de sardines et d'anchois des pêcheurs de Sète, n'ont atteint qu'environ 200 tonnes, contre 4 à 5.000 tonnes en 2007-2009, a précisé Bertrand Wendling, directeur de leur coopérative. Surtout, les sardines sont bien trop petites pour être commercialisées: il en faut désormais 45 à 60 pour faire un kilo contre seulement une trentaine auparavant, selon lui. Selon les premiers résultats de l'étude, "il y a très peu de chances pour que la prédation du thon rouge soit en cause", estime Mme Saraux. L'hypothèse avait été au départ avancée par les pêcheurs face au retour du prédateur à la faveur de stricts quotas de pêche. Mais l'analyse de leurs estomacs a montré qu'ils ne se nourrissaient que de petites sardines, et non pas des grosses qui ont disparu, a expliqué la scientifique.
L'Ifremer étudie donc d'autres hypothèses: une modification du plancton dont se nourrissent les sardines, peut-être en faveur d'espèces moins énergétiques qui les font moins grossir. Ou bien la présence de bactéries ou de virus. "Il est habituel d'avoir des variations sur les stocks de pélagiques mais c'est souvent dû à des problèmes de mortalité larvaire", ce qui n'est pas le cas aujourd'hui, précise Mme Saraux.
Face à l'effondrement des prises, les pêcheurs ont dû se réorienter vers des espèces de grands fonds (loups, daurades). A Sète, le nombre de chalutiers est passé de 30 à 14 entre 2007 et 2014, selon M. Wendling. Un seul chalutier continue à pêcher le "poisson bleu". L’Indépendant Vendredi 21 Novembre 2014
Libellés :
Méditerranée,
pêche,
sardine,
Sète
Sardines du Kérala, en Inde
Un cerf-volant pour chasser les mouettes et sauver les sardines !
Nicolas Chorier est spécialisé dans les photos prises depuis un cerf-volant. Une technique originale qui offre un regard étonnant et émouvant sur l'Inde. Voici le regard qu’il porte sur les sardines du Kérala.
Nicolas Chorier est spécialisé dans les photos prises depuis un cerf-volant. Une technique originale qui offre un regard étonnant et émouvant sur l'Inde. Voici le regard qu’il porte sur les sardines du Kérala.
© Nicolas Chorier |
© Nicolas Chorier |
Les communautés de pêcheurs de la région représentent toutes les religions - on trouve des hindous, des musulmans et des chrétiens. Parfois, ils attrapent trop de poissons et laissent sécher le surplus de leur pêche sur la plage pour le vendre plus tard, pendant la saison des pluies.
Nicolas Chorier explique dans son livre : "La mer est généreuse pour les pêcheurs du Kozhikoke. Et c'est un paradis pour les mouettes - les sardines qui sèchent au soleil sont un banquet ouvert. Mais mon cerf-volant les fait fuir... Les pêcheurs s'en inspireront peut-être pour construire un épouvantail cerf-volant !"
Libellés :
Kérala,
musée de la sardine,
sardine
Les sardines de Marseille
Nouvelles venues dans la galaxie, ces Bazarettes arrivent de Marseille. Préparées par la conserverie Ferrigno, ce sont les seules sardines françaises pêchées à l'est du Rhône ou à son immédiate embouchure. De véritables sardines méditerranéennes donc, garanties par le conserveur qui possède sa propre flotte et sait aussi tirer les prix. Souvent, les sardines mises en boîtes en Bretagne arrivent par la route, depuis Sète, Port Vendres ou Port de Bouc, on ne le précise pas, rien y oblige. Et quand elles arrivent d'Italie, d'Espagne ou du Portugal, non plus ! De toutes façons, les meilleures sardines françaises sont bretonnes ! C'est ce qu'on croit. Mais c'est oublier un peu vite qu'au sud de la Loire, il y a aussi des conserveries, vendéennes, charentaises, basques… Comme les huîtres, les sardines s'imprègnent de leurs eaux d'origine, toujours prêtes à faire voyager nos papilles.
Alors c'est le moment de goûter ces véritables sardines provençales… au pastis !
Alors c'est le moment de goûter ces véritables sardines provençales… au pastis !
On les trouve en vente chez Provence Avenue.com
Les sardines de Pau
Par Litza Georgopoulos - Le 28 octobre 2014 à 14h00
Le Bar des Sardines à Pau par Philippe Costes, photographe
"Le bar des Sardines à Pau vient de fêter ses un an et s'est deja agrandi. Pour cette occasion, il m’est venu l’idée de proposer une exposition photo à Lydia la patronne, « détournement de sardines », en y faisant participer quelques amis palois: tatoueuse, pâtissière, vétérinaire, rappeurs et deux créatrices textile et objets récup.
Le premier bar au look vintage récup ne servait que quelques tapas et assiettes de charcuterie et fromages de la région accompagné d’une très agréable sélection de vins. Le deuxième bar, mitoyen au premier, est dans un esprit lounge, avec un premier étage composé d'une salle de poker et plusieurs petits salons ou l'on peut se retrouver dans une ambiance plus intimiste et conviviale. Particularité de ce nouveau bar, on peut y déguster des couteaux, des moules et des calamars à la plancha ainsi qu’une généreuse cote de boeuf et le mercredi soir des sardines grillées.
Le sourire de Lydia et l’accueil chaleureux de toute son équipe font aussi le succès de ce bar. J’y retrouve avec plaisir de nombreux amis Palois et nous y passons d’agréables soirées, souvent jusqu’à 2h du matin…
Ce bar reflète bien son précepte : « bar à vins, bières et alimentation spirituelle » "
Les sardines, 9 rue Gachet, 64000 Pau, 05 59 71 30 84
© Philippe Costes, www.philippecostes.com
Du nouveau chez Furic
Il faut être Breton pour connaître les sardines Furic, un autre grand nom de la sardine pour les connaisseurs. Et depuis quelques temps, des efforts sont faits sur l'attrait de la boîte…
Penmarch Furic. Quand la sardine rencontre l'art 28 octobre 2014
. Le peintre Mickael Weston et Sten Furic présentent une planche des futures boîtes de sardines avant emboutissage, à Franpac, à Douarnenez.
Pour la deuxième année consécutive, la Compagnie bretonne du poisson (conserverie Jean-François Furic, à Saint-Guénolé) sort une série de boîtes millésimées 2014. L'originalité réside dans le fait que les 26.000 boîtes concernées portent la reproduction d'une oeuvre du peintre de la pointe de Saint-Pierre, Michael Weston. Michael Weston, peintre installé à Saint-Pierre « Comme le millésime 2013, nous avons souhaité par cette initiative mettre le travail d'un artiste local en avant. Après Jean-Yves Le Marc, l'an dernier, c'est Michael Weston qui signe la série 2014 », a expliqué Sten Furic, directeur général de la conserverie de Saint-Guénolé. Si le contenant se veut original, le contenu alimentaire est un des produits phare de la conserverie. La sardine est pêchée dans la baie de Douarnenez. En plus du lieu de pêche, sur la boîte figure la date de pêche, le 12 août, le nom du bateau, War Raog IV, et la date d'emboîtage, les 13 et 14 août. « La sardine millésimée est pêchée au mois d'août parce que le souhait est d'avoir un taux de gras élevé. C'est la meilleure période pour avoir une très belle sardine fraîche que l'on travaillera suivant une méthode de fabrication à l'ancienne, éviscération à la main, friture à l'huile, égouttage et emboîtage manuel, avec recoupe du collet et de la queue », complète Sten Furic. On peut trouver ces boîtes de collection à la conserverie de Saint-Guénolé et magasin Furic du Guilvinec, Pont-l'abbé, Bénodet, Quiberon, Guérande et dans les épiceries fines.
© Le Télégramme - Plus d’information sur http://www.letelegramme.fr/finistere/penmarch/furic-quand-la-sardine-rencontre-l-art-28-10-2014-10403421.php
Penmarch Furic. Quand la sardine rencontre l'art 28 octobre 2014
. Le peintre Mickael Weston et Sten Furic présentent une planche des futures boîtes de sardines avant emboutissage, à Franpac, à Douarnenez.
Pour la deuxième année consécutive, la Compagnie bretonne du poisson (conserverie Jean-François Furic, à Saint-Guénolé) sort une série de boîtes millésimées 2014. L'originalité réside dans le fait que les 26.000 boîtes concernées portent la reproduction d'une oeuvre du peintre de la pointe de Saint-Pierre, Michael Weston. Michael Weston, peintre installé à Saint-Pierre « Comme le millésime 2013, nous avons souhaité par cette initiative mettre le travail d'un artiste local en avant. Après Jean-Yves Le Marc, l'an dernier, c'est Michael Weston qui signe la série 2014 », a expliqué Sten Furic, directeur général de la conserverie de Saint-Guénolé. Si le contenant se veut original, le contenu alimentaire est un des produits phare de la conserverie. La sardine est pêchée dans la baie de Douarnenez. En plus du lieu de pêche, sur la boîte figure la date de pêche, le 12 août, le nom du bateau, War Raog IV, et la date d'emboîtage, les 13 et 14 août. « La sardine millésimée est pêchée au mois d'août parce que le souhait est d'avoir un taux de gras élevé. C'est la meilleure période pour avoir une très belle sardine fraîche que l'on travaillera suivant une méthode de fabrication à l'ancienne, éviscération à la main, friture à l'huile, égouttage et emboîtage manuel, avec recoupe du collet et de la queue », complète Sten Furic. On peut trouver ces boîtes de collection à la conserverie de Saint-Guénolé et magasin Furic du Guilvinec, Pont-l'abbé, Bénodet, Quiberon, Guérande et dans les épiceries fines.
© Le Télégramme - Plus d’information sur http://www.letelegramme.fr/finistere/penmarch/furic-quand-la-sardine-rencontre-l-art-28-10-2014-10403421.php
Libellés :
boites de sardines,
conserve
Inscription à :
Articles (Atom)