Les keftas à la tunisienne

Recette : Boulettes de sardines

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Les ingrédients :

  • 1 kg de sardines
  • 2 gousses d’ail
  • 2 cuillères à soupe de persil haché
  • 2 cuillères à soupe de coriandre ciselée
  • Les épices : 1/2 cuillère à café de curcuma,1 cuillère à café de cumin, sel et poivre
  • 2 cuillères à soupe d’huile d’olive
  • 1 cuillère à soupe de jus d’un demi-citron
  • Pour la sauce : 2 tomates coupées en cubes, 1 gousse d’ail, 2 cuillères à soupe d’huile, 2 cuillères à soupe de concentré de tomates, 2 poivrons, 1 feuille de laurier, 1 cuillère à café de paprika, sel et poivre.

La préparation :

  1. Écailler les sardines, vider et lever les filets, puis rincer rapidement.
  2. Hacher la chair des sardines dans un mixeur.
  3. Dans un saladier, mettre les sardines avec l’huile d’olive et les épices.
  4. Ajouter le jus de citron, le persil haché, la coriandre et l’ail.
  5. Mélanger le tout puis humidifier vos mains et former des boulettes. Réserver.
  6. Dans une casserole, faire chauffer l’huile, mettre l’ail haché, ajouter les tomates, le concentré de tomates, les poivrons, le laurier et les épices,
  7. Ajouter un verre d’eau, puis laisser mijoter (environ 10 minutes).
  8. Déposer les boulettes de sardines dans la sauce et laisser cuire à feu doux (environ 20 minutes).

Le scandale du cluster de Safi

Quand on confine et qu'on exige des gestes barrières, c'est pour éviter ce qui se passe à Safi…

"Une ville de 300.000 habitants mise en quarantaine. Les accès à la ville de Safi sont fermés depuis l’apparition, le 2 juillet 2020, d’un foyer énorme de contamination dans une usine de conserverie de sardines, appartenant au groupe Unimer de la famille Alj.

Le virus avait déjà fait ses ravages sans crier gare. Tout allait bien, d’après les résultats des rapports des commissions de la préfecture désignées par le comité de veille pour surveiller, entre autres, les usines de conserverie de sardines qui font la notoriété de la ville. Quand on a découvert par centaines des ouvrières contaminées. Ces dernières avaient déjà porté le virus chez elles. Longtemps épargnée par les plans de confinement, la nonchalance et l’irresponsabilité des usines de sardines en ont fait une ville fantôme où il ne faut surtout pas s’y approcher. Ce qui s’est réellement passé, c’est que le coronavirus et le confinement de plusieurs villes importatrices de sardines safiotes, comme Casablanca, premier marché de destination des conserves de sardines, a créé une surabondance de ce poisson tant prisé au Maroc comme à l’étranger.

Une ville fantôme
La conséquence est que les prix au kilo ont drastiquement chuté, passant de 3 dirhams à 50 centimes. Cette surabondance signifiait, pour les propriétaires de ces usines, une surproduction. A Safi, il y a 11 usines de conserverie de sardines. Chaque usine a engagé de nouvelles ouvrières intermittentes (90% des employés de ces usines sont des femmes), variant entre 100 et 300 par usine. Les mesures de prévention sanitaires étaient le dernier souci de ces opérateurs. Le contrôle des autorités locales et des commissions de la préfecture a conclu qu’il n’y a rien qui inquiète.

Sachant que le cahier des charges relatif notamment à la distanciation physique et à la réduction de moitié du personnel n’a pas été respecté, pire encore, le nombre des employées a été doublé. A l’intérieur de ces usines, l’on a interdit même aux employées de porter leurs téléphones portables de peur qu’elles filment ce qui se passait à l’intérieur. Puis, d’un coup, le drame s’est produit. Voilà donc le résultat de l’exploitation intensive de ces usines tolérées par les autorités locales. La section de l’OMDH à Safi et différents acteurs associatifs ont dénoncé cette situation et avaient tiré la sonnette d’alarme un peu tôt, mais sans succès.

Le comble, c’est que le ministère de la Santé, malgré le nombre élevé des contaminations, n’a pas daigné doter la ville d’unités mobiles Covid-19 et rouvrir les dispensaires fermés de la ville pour faire face à cette situation et séparer les malades du coronavirus et les autres malades qui affluent sur l’hôpital Mohammed V."


La sardine vue de Safi

L'oeil de Gueddar
"A Safi il n'y a pas que la sardine qu'on entasse"
in le360.ma ©Khalil Gueddar
Illustration d'un article sur le surpeuplement des villes…

Les sardines aiment le Covid

La conserverie Chancerelle, à Douarnenez, a enregistré des ventes en hausse de 40 % durant le confinement.

L’enjeu aujourd’hui est de reconstituer les stocks mis à mal par cette consommation accrue. « Nous avons normalement la moitié du chiffre d’affaires de côté, nous nous donnons cinq mois pour retrouver ces niveaux », souligne le dirigeant. Il s’agit de faire comprendre à la grande distribution que s’il n’y a pas eu de rupture durant le confinement, elle pourrait intervenir d’ici un mois ou deux. « Ce n’est pas parce que nous remplissons une boîte qu’elle part à la vente, le produit a un temps d’affinage, on ne peut pas les libérer avant novembre », ajoute-t-il.

Pêche responsable


Sur certains d’entre eux, apparaît désormais un logo bleu « Pêche Responsable », certifiant que le poisson a été pêché dans des conditions de respect des ressources, supérieures au standard du marché.

Chancerelle a décidé de baser sa politique d’achat déclinée en 36 critères : qualité des produits, gestion des ressources marines, exigences sociales et transparence. Chacun d’entre eux est validé par un organisme indépendant, en l’occurrence Bureau Veritas. La démarche a de quoi séduire les consommateurs mais, l’assure Jean-François Feillet, « ce n’est pas le marketing qui en est l’origine, ce sont plutôt des convictions anciennes que nous mettons en place ». Les aspects sociaux et de transparence poussent à abandonner certains approvisionnements, ce qui représente une hausse des coûts. Jean Mauviel l’évoque : « Nous l’assumons, car nous voulons apparaître comme le référent du poisson premium pêché de façon responsable, et ainsi assurer notre développement et notre pérennité ».

in le telegramme ici

Franck Margerin aime les sardines de la Quiberonnaise !

A retrouver ici
L'auteur de bande dessinée Franck Margerin célèbre les 150 ans de la SNSM avec une boîte originale éditée par La Quiberonnaise. On ne louera jamais assez les liens qui unissent l'univers de la sardine et celui de la bande dessinée : même goût pour les dessinateurs de talent, même goût pour l'expression en petites cases, même goût pour les héros animaliers, etc…
Pierre Tchernia en son temps avait relevé cette parenté avec sa collection, d'autres l'ont suivi. Et si Thierry Jourdan affirme sa fidélité à Franck Margerin avec l'édition de plusieurs boîtes au fil des années, Michel-Edouard Leclerc se présente aussi, en tant qu'épicier, comme mécène et bédéphile chevronné… Il y en a d'autres parmi les auteurs et amateurs d'images comme, pour ne citer que la doyenne, la photographe Louise Weiss à qui je ne peux qu'associer, en tant que compagne d'Henri Cueco (artiste, auteur de "Le collectionneur de collections"), Marinette Cueco magnifique plasticienne honorée cet été au festival des jardins de Chaumont-sur-Loire.


Sardines Quiberonnaises, Margerin et la SNSM

La SNSM aime les sardines et les sardines mettent la main à la poche quand il s'agit de leur venir en aide…
La conserverie La Quiberonnaise s'est une fois de plus attaché le concours de Franck Margerin pour illustrer une boîte 2020 dont une part de la vente viendra au secours de la SNSM privée cette année de ses habituels soutiens événementiels.
A retrouver dans actualitte.com


Les Sardines 2020 de Jacques Gonidec illustrées par Christian Sanséau

Le meilleur de la sardine, on le dit on le répète, dans une série limitée à 40 000 exemplaires à déguster dans 10 ans… Difficiles à trouver hors de Concarneau…



Des sardines de la Pointe de Penmarc'h pour la SNSM

Pour soutenir les sauveteurs en mer de Douarnenez et leur vedette Penn sardin. Boîte en vente chez les commerçants de Douarnenez.

Covid et sardines à Safi

Une usine de transformation de sardines à Safi. THERESE DI CAMPO / LE DESK
Une usine de transformation de sardines à Safi. THERESE DI CAMPO / LE DESK


D'après nos informations, 446 personnes ont été déclarées positives au Covid-19 dans les usines de conservation de sardines à Safi. Après le cluster en lien avec les usines de fraises dans la région de Kenitra, la cité portuaire pourrait bien s'arroger le triste record du pic de contamination

Depuis bientôt 12 heures, la ville de Safi est secouée par la découverte d’un nouveau foyer de contamination au sein des usines de conservation de sardines, communément appelées « fabricate ». 


Plusieurs sources médiatiques locales rapportent que dès ce 4 juillet, au matin, 50 cas de personnes infectées par le Covid-19 ont été découverts. Le point de presse quotidien de 18 heures rapportait que la région recensait 266 cas. Selon nos sources, ce chiffre ne correspond qu’à la première vague.


D’après nos informations, le bilan a atteint jusqu’à présent les 446 cas. Plusieurs sites locaux rapportent que l’accès à la ville est restreint par les autorités, en plus d’une campagne de dépistage massif organisée visant les ouvriers de ces usines, mais aussi leurs familles. Safigoud, site d’information local, relaye d’ailleurs via des vidéos les opérations de dépistage. Dans des témoignages recueillis par les journalistes locaux, les ouvriers de l’usine affirment que l’activité des unités industrielles n’était pas suspendue, malgré la découverte de cas de contamination.


Ce n’est pas la première fois qu’une unité industrielle est derrière une hausse des contaminations du Covid-19. Le foyer de contamination de la région de Kenitra, en lien avec des usines de conditionnement de fraises, avait dépassé le cap des 600 cas.


Derrière ces unités industrielles, le laxisme des autorités est pointé du doigt, dans leur gestion de la reprise des activités au sein des unités industrielles.

Par in Le Desk

Recette facile et jolie recommandée par une célèbre marque de régime amincissant


Ingrédients Tartelettes de fleur de légumes et sardines

- 4 sardines à l’ancienne aux 5 baies
- 200 g de farine
- 50 g d’eau
- 100 g de beurre salé mou
- 60 g de brousse
- 15 cl de crème liquide
- 1 œuf
- ½ courgette
- 1 carotte
- 2 panais
- Sel et poivre

Préparation Tartelettes de fleur de légumes et sardines

1- Réaliser la pâte brisée : mélanger la farine, le beurre mou et l’eau. Former une boule et la placer au frais.
2- Préchauffer le four à 180°C (Th.6)
3- Éplucher les légumes (sauf les courgettes), couper les extrémités et les couper en lamelles fines avec une mandoline. Faire blanchir les légumes, chacun à leur tour, dans de l’eau bouillante salée pendant 2 min, puis les égoutter.
4- Sortir la pâte du réfrigérateur et la diviser en 4. Sur un plan de travail légèrement fariné, étaler chaque boule et remplir les moules. Piquer le fond des tartelettes, ajouter quelques haricots secs et enfourner pour 10 min.
5- Pendant ce temps, couper les légumes en rectangles d’environ 8 x 1,5 cm.
6- Dans un saladier, mélanger la brousse, la crème et l’œuf. Battre comme une omelette et ajouter un peu de sel et de poivre.
7- Sortir les tartelettes du four et enlever les haricots secs.
8- Avec les légumes, former de petits rouleaux et les disposer sur les tartelettes en alternant les couleurs. Ajouter par-dessus la préparation crémeuse. Ne pas remplir jusqu’en haut des légumes.
9- Couper les sardines aux 5 baies , enlever les arêtes et les émietter grossièrement. Remplir les fleurs de légumes de miettes de sardines et enfourner pour 35 min
environ, suivant votre four.

Les sardines de Paimboeuf

A Paimboeuf près de Saint-Nazaire, on traversera dorénavant la chaussée en marchant sur des sardines…