Les sardines Anny pour le président
Voici ce qu’on offre gratuitement aux Camerounais pour aller suivre une finale de la coupe du Cameroon .
Il faut à tout prix remplir le stade à fin d’applaudir l’arrivée du Dieu du Cameroon en lui faussant croire qu’il est le sauveur de la république. La parade militaire ferra son show également.
Voilà Comment on a réduit le peuple Camerounais à la mendicité.
Dites moi dans quel pays on offre Les pains sardines aux citoyens pour aller suivre une finale de coupe nationale ? Notre pays a touché le fond. Ceux et celles qui doutent n’ont encore rien compris.
André Rolain
Avec Benjamin Zebaze
Le noël des sardines en BD
« Les chasseurs d’écume » , ou la vie difficile des pêcheurs de Douarnenez (bande dessinée)
Une bande dessinée tirée du livre de Jean-Claude Boulard L'épopée de la sardine, avec de belles planches sur Douarnenez et la pêche à la sardine.
La bande dessinée Les chasseurs d’écume décrit la vie difficile des pêcheurs de Douarnenez au XXe siècle. Une série enracinée qui mérite d’être découverte.
Les
trois premiers tomes se déroulent avant la première guerre mondiale. La
sardine est le cœur de l’activité économique. Dans le tome 1, en 1901,
Jos Gloaguen âgé de seulement 12 ans embarque sur la chaloupe de son
père. Les hommes pêchent sur de frêles barques, tandis que leurs épouses
– les Penn Sardin- s’activent à la conserverie contre un salaire de
misère. Dans le tome 2, Jos Gloaguen participe à une révolte des
pêcheurs réprimée par la gendarmerie à cheval. Dans le troisième tome,
pendant la Première Guerre mondiale, Jos devient marin sur le cuirassé
Danton. Mais celui-ci est coulé par un sous-marin allemand. Jos est
ensuite affecté sur le cuirassé Mirabeau. A la fin de la guerre,
celui-ci se dirige vers Sébastopol, pour aider les Russes blancs luttant
contre la révolution bolchevique. C’est alors qu’éclatent les
Mutineries de la Mer noire. Mais, courageusement, Jos refuse de
participer à la grève des matelots favorables aux rouges… A son retour,
il épouse la belle Anna Coëdic… Le tome 4 décrit la situation des
pêcheurs de Douarnenez pendant les années 1920. En 1920, Jos Gloaguen et
Anna ont un garçon, qu’ils prénomment Fanch. Mais la vie des pêcheurs
est difficile. En 1924, les tensions sociales se crispent. Alors que la
sardine se fait attendre, les pêcheurs restés à quai exigent des patrons
des conserveries de meilleures conditions de travail. Des parisiens du «
Cartel des gauches », venus recruter pour un nouveau syndicat affranchi
du bolchévisme, incitent à la grève. En 1925, un accord est signé
entre les délégués des femmes travaillant dans les conserveries et les
industriels. Mais les pêcheurs de Douarnenez sont concurrencés par ceux
de St Jean de Luz, lesquels ne font pas grève… Ainsi se clôt le premier
cycle de cette série.…
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Agadir Haliopôle nage à contre-courant sur la sardine
Alerte rouge sur la sardine ! Alors que le Maroc répète que ses stocks
halieutiques ne sont pas menacés de surexploitation, le cluster Agadir Haliopôle
brise un tabou en affirmant l'inverse. Le pôle de compétitivité va
missionner un cabinet pour mener une étude sur la pérennité des
ressources halieutiques au large de la région Souss-Massa. L'association
porte les inquiétudes des industriels du secteur, indiquant dans son
appel d'offres qu'un "tarissement des sources d'approvisionnement à l'échelle locale n'est pas une simple hypothèse". Agadir Haliopôle veut donc se doter d'un plan d'actions pour inverser la tendance.
Placé sous l'autorité du wali de Souss-Massa Ahmed Hajji, Agadir Haliopôle est piloté par un connaisseur de la pêche, Mohamed Bouayad. Ce dernier dirige Sunrise International (mareyage), Marpex (conserverie de poisson) et l'antenne marocaine du bureau d'études français Cofrepêche, filiale de l'Ifremer (Institut français de recherche pour l'exploitation de la mer).
Le débat sur la surpêche fait rage : le 5 novembre, l'Institut national de recherche halieutique (INRH) du royaume est monté au créneau face au Conseil international pour l'exploration de la mer (CIEM). Ce dernier avait mis en garde, dans une étude, sur la "situation critique" des stocks de sardines marocaines.
Placé sous l'autorité du wali de Souss-Massa Ahmed Hajji, Agadir Haliopôle est piloté par un connaisseur de la pêche, Mohamed Bouayad. Ce dernier dirige Sunrise International (mareyage), Marpex (conserverie de poisson) et l'antenne marocaine du bureau d'études français Cofrepêche, filiale de l'Ifremer (Institut français de recherche pour l'exploitation de la mer).
Le débat sur la surpêche fait rage : le 5 novembre, l'Institut national de recherche halieutique (INRH) du royaume est monté au créneau face au Conseil international pour l'exploration de la mer (CIEM). Ce dernier avait mis en garde, dans une étude, sur la "situation critique" des stocks de sardines marocaines.
Reproduction à titre informatif et non commercial
Méditerranée : Le Maroc et l’Espagne à la rescousse de la sardine
Infomediaire Maroc – Une campagne scientifique axée sur la connectivité entre les différentes populations de sardine en Méditerranée a réuni récemment des chercheurs de l’Institut espagnol d’océanographie (IEO) et de l’Institut national de recherche halieutique (INRH).
L’objectif de cette campagne, baptisée “SARLINK” et réalisée dans les eaux marocaines, espagnoles et portugaises, est d’analyser les échantillons prélevés, à travers des études génétiques, pour déterminer le degré de connectivité entre les différentes populations formant le stock de sardines dans les eaux du sud de la péninsule ibérique et du nord du Maroc.
Rédaction Infomediaire.
Des chercheurs des deux instituts ont fait des prélèvements d’échantillons d’œufs, de larves et de spécimens adultes de sardines (Sardina pilchardus) dans la mer d’Alboran, le golfe de Cadix, ainsi que dans les eaux marocaines et du Portugal.
Un total de 10 chercheurs de l’INRH et de l’IEO ont participé à cette initiative «entreprise dans un temps réduit par rapport à son envergure».
À Amiens, les sardines remontent la Somme
Déjà connue pour son lapin géant de Pâques et sa Licorne de l’Amiens SC,
Géraldine Thibault a convaincu l’artiste Jean-Pierre David de
transformer Saint-Leu.
Cette installation va faire parler d’elle tant elle est spectaculaire. Une centaine de sardines géantes sont posées au dessus de l’eau du canal de la Somme au niveau du quai Bélu. Un effet visuel garanti. C’est l’œuvre de l’artiste de renommée internationale Jean-Pierre David.
Et c’est aussi celle de Géraldine Thibault, créatrice de l’agence Ajuste Sens. Cette Amiénoise, artiste de formation de 42 ans, a créé sa société spécialisée dans la communication et l’organisation d’événements. Et dès qu’elle le peut, elle s’inspire de ses connaissances en art. C’est ainsi qu’elle a lancé un lapin géant dans les rues du centre ville lors des fêtes de Pâques pour guider les badauds vers les commerces partenaires.
Elle a aussi planté des cœurs rouges place Gambetta pour la fête de
la Saint-Valentin. Elle a séduit les dirigeants de l’Amiens SC et son
public avec sa Licorne géante. Des œuvres à chaque fois soignées et loin
de la caricature. Dernier fait d’arme donc : des sardines à Saint-Leu.
Des spécimens faits de plastique glacé à l’aluminium gonflés à l’hélium
et lestés au fond de l’eau.
« La fédération des commerçants du centre ville cherchait un projet pour les 20 ans du marché de Noël. J’ai toujours ce réflexe de m’inspirer des artistes et de leurs travaux notamment en installation. Les œuvres posées s’inspirent de leur environnement. J’ai pensé à Jean-Pierre David. Il a fallu le convaincre. Ce qui n’a pas été simple. D’autant qu’il est toujours en mouvement. Il revenait notamment d’une exposition à Moscou et à Tokyo », raconte Géraldine Thibaut.
L’artiste ne disait pas non, tout comme il ne disait pas vraiment oui. « Trop d’algues, pas assez profond... Je l’ai convaincu de m’envoyer du matériel par la Poste pour tester moi-même les conditions. Je n’ai pas lâché puis il est venu sur place cet été », se souvient-elle.
Il restait la question du coût, là encore réduit par le travail de l’équipe de l’agence Ajuste Sens. Le coup de communication est en tous les cas réussi. Les réactions sont enthousiastes en cette période où les touristes sont nombreux à se balader à Saint-Leu, entre le marché de Noël et le spectacle d’illuminations de la cathédrale Chroma.
Il restait à faire vivre cette installation. « Elle va évoluer sur 15 jours sur le bras de la Somme. Nous allons la déplacer tous les quatre jours environ. De nouveaux bancs de poissons seront positionnés 20 mètres plus loin à chaque fois, puis ils partiront dans les différents canaux de Saint-Leu. L’idée est de dire qu’ils partent vers la mer », précise Géraldine Thibaut.
De quoi prévenir les fêtards de Saint-Leu qu’ils ne sont pas victimes d’hallucinations et les avertir qu’il est dangereux de tenter d’en décrocher un dans cette eau glacée.
Par David Vandevoorde |
Cette installation va faire parler d’elle tant elle est spectaculaire. Une centaine de sardines géantes sont posées au dessus de l’eau du canal de la Somme au niveau du quai Bélu. Un effet visuel garanti. C’est l’œuvre de l’artiste de renommée internationale Jean-Pierre David.
Et c’est aussi celle de Géraldine Thibault, créatrice de l’agence Ajuste Sens. Cette Amiénoise, artiste de formation de 42 ans, a créé sa société spécialisée dans la communication et l’organisation d’événements. Et dès qu’elle le peut, elle s’inspire de ses connaissances en art. C’est ainsi qu’elle a lancé un lapin géant dans les rues du centre ville lors des fêtes de Pâques pour guider les badauds vers les commerces partenaires.
Un projet pour les 20 ans du marché de Noël
« La fédération des commerçants du centre ville cherchait un projet pour les 20 ans du marché de Noël. J’ai toujours ce réflexe de m’inspirer des artistes et de leurs travaux notamment en installation. Les œuvres posées s’inspirent de leur environnement. J’ai pensé à Jean-Pierre David. Il a fallu le convaincre. Ce qui n’a pas été simple. D’autant qu’il est toujours en mouvement. Il revenait notamment d’une exposition à Moscou et à Tokyo », raconte Géraldine Thibaut.
L’artiste ne disait pas non, tout comme il ne disait pas vraiment oui. « Trop d’algues, pas assez profond... Je l’ai convaincu de m’envoyer du matériel par la Poste pour tester moi-même les conditions. Je n’ai pas lâché puis il est venu sur place cet été », se souvient-elle.
Il restait la question du coût, là encore réduit par le travail de l’équipe de l’agence Ajuste Sens. Le coup de communication est en tous les cas réussi. Les réactions sont enthousiastes en cette période où les touristes sont nombreux à se balader à Saint-Leu, entre le marché de Noël et le spectacle d’illuminations de la cathédrale Chroma.
Il restait à faire vivre cette installation. « Elle va évoluer sur 15 jours sur le bras de la Somme. Nous allons la déplacer tous les quatre jours environ. De nouveaux bancs de poissons seront positionnés 20 mètres plus loin à chaque fois, puis ils partiront dans les différents canaux de Saint-Leu. L’idée est de dire qu’ils partent vers la mer », précise Géraldine Thibaut.
De quoi prévenir les fêtards de Saint-Leu qu’ils ne sont pas victimes d’hallucinations et les avertir qu’il est dangereux de tenter d’en décrocher un dans cette eau glacée.
Par David Vandevoorde |
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