La sardine au théâtre : Marinella



 Au Théâtre de la Madeleine, Paris 8ème, à partir du 8 février 2025

La sardine et le boeuf

 Article de salubrité publique à lire sur RTL.fr

Alimentation : pourquoi remplacer la viande rouge par de petits poissons sauverait des vies

Une étude révèle que remplacer la viande rouge par des petits poissons tels que les sardines, anchois et harengs, pourrait être bénéfique pour notre santé et celle de la planète. 

Êtes-vous prêt à remplacer un carpaccio de bœuf par des filets de hareng ? Des lasagnes à la bolognaise par des lasagnes aux sardines ? Une étude récente estime qu'en réduisant la consommation de viande rouge au profit de sardines, harengs ou anchois, on pourrait éviter jusqu'à 750.000 décès dans le monde d'ici 2050.

Pour parvenir à cette conclusion, des chercheurs japonais et australiens ont analysé des projections de données provenant de 137 pays. Cette substitution serait bénéfique tant pour la santé des populations que pour le climat. Les chercheurs ont constaté que consommer moins de viande rouge pourrait réduire les décès liés aux maladies cardiovasculaires, ainsi qu'à d'autres pathologies comme les accidents vasculaires cérébraux, le diabète de type 2 et le cancer colorectal.

Des études antérieures ont déjà montré que la consommation excessive de viande rouge ou transformée, riche en graisses saturées, est associée à un risque accru de développer certaines maladies.

Réduire sa consommation de viande rouge

En France, il est recommandé de ne pas dépasser 500 g de viande rouge par semaine. Cela inclut toutes les viandes provenant des muscles de mammifères, comme le bœuf, le veau, le porc et le mouton.

 

Pour la charcuterie, la recommandation est de ne pas en consommer plus de 150 g par semaine, soit environ trois tranches de jambon blanc. Dans d'autres pays, comme le Canada, les recommandations sont encore plus strictes.

Les bienfaits des petits poissons

Les petits poissons, tels que les sardines, sont meilleurs pour la santé. Ils sont riches en bonnes graisses, notamment en oméga-3, et apportent de nombreux nutriments, comme des protéines, du calcium et de la vitamine B12.

En raison de leur petite taille, ces poissons sont moins pollués que les gros poissons gras comme le thon. Ils sont à la fois sains et respectueux de l'environnement, car ils ont l'empreinte carbone la plus faible parmi les sources d'aliments d'origine animale.


Le Programme National Nutrition Santé recommande de consommer du poisson deux fois par semaine, en alternant poisson maigre et poisson gras. Les petits poissons gras peuvent être consommés frais, surgelés, souvent moins chers, ou en conserve, une option économique et pratique.

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Aline Perraudin - édité par Lana Kageyama

 

 

 

 

 

Un Sardine studio au Quebec ???

 


Une plateforme de vente et de distribution ainsi qu’une vitrine, mais aussi toute une logistique se cachent sous le nom du collectif artistique, Sardines Studio.

Le projet a été lancé par deux résidents d’Ahuntsic, François Albert — qui a quitté une carrière en informatique pour se consacrer au projet — et sa conjointe Amélie Legault, artiste reconnue pour ses illustrations et plus particulièrement ses livres.

Le nom «Sardines» veut refléter l’esprit communautaire du collectif, la solidarité et la créativité partagée.

«C’est très significatif la sardine. C’est un poisson qui se rassemble pour se protéger, pour être ensemble comme une communauté. C’est se tenir en banc, nager ensemble», explique François Albert, qui endosse le rôle de directeur des opérations.

La plateforme Sardines Studio peut être vue comme une galerie d’art en ligne qui permet d’accéder aux créations, des tasses, des affiches, des aimants à coller sur les réfrigérateurs, et bientôt des vêtements.

 https://sardinesstudio.com/fr

La dernière usine SAUPIQUET ferme ses portes en France

 Il ne reste que huit jours. Autant dire une poignée d’heures, jusqu’au 20 décembre 2024. À cette date, l’usine Saupiquet de Quimper dans le Finistère – la dernière de France – fermera ses portes. À Quimper, Saupiquet, c’est cent ans d’histoire. Ici, allée de Kergolvez où se trouve la dernière usine, on met en conserve des sardines et des maquereaux depuis 1968. 155 salariés y travaillent « avec savoir-faire et savoir-être », souligne Valérie Bonder.